Les freins dégagent une impression de solidité, et le comportement routier de cette Kizashi se veut plaisant. Suzuki a d’ailleurs fait l’essai de cette nouvelle plateforme sur l’Autobahn et le Nürburgring, ce qui ressort nettement de la dynamique de conduite.
L’habitacle est silencieux même sur la route, et la conduite est confortable sur les surfaces raboteuses.
Hélas, s’arrête ici le bon côté.
Vu qu’il n’y a qu’un degré de finition, vous l’avez deviné, on n’a d’autre choix qu’ une transmission à variation continue (CVT), ainsi qu’un moteur de quatre-cylindres de 2,4 litres produisant 180 ch et 170 pi-lb de couple.
Je dois avouer qu’après la tenue de route si impressionnante, la boîte et le manque de puissance déçoivent un peu. Les décollages se font lents, et les dépassements paresseux sur la route.
Le gros problème reste la concurrence. La Camry et l’Accord sont simplement plus puissantes.
Fait à noter, au sud de la frontière on a le choix d’une boîte manuelle à six vitesses. J’ai l’impression que cette option procurerait plus de plaisir que l’actuelle CVT.
Je m’attendais à ce que cette dernière permette, à tout le moins, une excellente consommation. Or, ce n’est pas vraiment le cas. On annonce des chiffres de 9,3 litres sur la route et 6,8 en ville. J’ai réussi une moyenne de 7,8 litres en conduite mixte, intéressant, mais pas aussi impressionnant que je l’espérais.
Si vous voulez une voiture bien nantie et la CVT ne vous dérange pas, cette Kizashi offre une épatante dynamique de conduite et un ensemble globalement attrayant pour un modèle à transmission intégrale.
Je suis toutefois déçue du moteur et de l’unique choix de boîte de vitesses. Offrir un seul degré de finition profite au constructeur, certes, mais qu’en est-il du client?
Peut-être que Suzuki nous réserve toujours quelque chose de remarquable?
L’habitacle est silencieux même sur la route, et la conduite est confortable sur les surfaces raboteuses.
Hélas, s’arrête ici le bon côté.
Vu qu’il n’y a qu’un degré de finition, vous l’avez deviné, on n’a d’autre choix qu’ une transmission à variation continue (CVT), ainsi qu’un moteur de quatre-cylindres de 2,4 litres produisant 180 ch et 170 pi-lb de couple.
Je dois avouer qu’après la tenue de route si impressionnante, la boîte et le manque de puissance déçoivent un peu. Les décollages se font lents, et les dépassements paresseux sur la route.
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| Les freins dégagent une impression de solidité, et le comportement routier de cette Kizashi se veut plaisant. (Photo: Suzuki) |
Le gros problème reste la concurrence. La Camry et l’Accord sont simplement plus puissantes.
Fait à noter, au sud de la frontière on a le choix d’une boîte manuelle à six vitesses. J’ai l’impression que cette option procurerait plus de plaisir que l’actuelle CVT.
Je m’attendais à ce que cette dernière permette, à tout le moins, une excellente consommation. Or, ce n’est pas vraiment le cas. On annonce des chiffres de 9,3 litres sur la route et 6,8 en ville. J’ai réussi une moyenne de 7,8 litres en conduite mixte, intéressant, mais pas aussi impressionnant que je l’espérais.
Si vous voulez une voiture bien nantie et la CVT ne vous dérange pas, cette Kizashi offre une épatante dynamique de conduite et un ensemble globalement attrayant pour un modèle à transmission intégrale.
Je suis toutefois déçue du moteur et de l’unique choix de boîte de vitesses. Offrir un seul degré de finition profite au constructeur, certes, mais qu’en est-il du client?
Peut-être que Suzuki nous réserve toujours quelque chose de remarquable?
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