Bonne position de conduite
Comme la berline, cependant, la SX4 à hayon offre des sièges baquets dont l'assise est haute. Avec la généreuse surface vitrée avant et le capot très plongeant, le conducteur bénéficie d'un excellent champ de vision avant. Seuls les montants du pare-brise, très incliné, gênent parfois, quand on effectue un virage serré, par exemple.
Les commandes logées au tableau de bord sont réunies principalement sur sa portion centrale. Ces gros commutateurs sont faciles à repérer et à utiliser. Au sommet de cette section, une petite visière recèle une horloge numérique et un indicateur de la température extérieure, deux afficheurs pratiques qui, en raison de la couleur rougeâtre de leurs cristaux liquides, sont malheureusement difficiles à consulter en plein jour.
En outre, le volant est inclinable mais pas télescopique. Dommage, car cela permettrait d'optimiser davantage le confort du conducteur.
Un ligne qui plaît
La silhouette moderne de la SX4 à hayon plaît. À maintes reprises, des badauds nous ont demandé quelle était cette voiture que nous conduisions et qu'ils trouvaient si jolie. Un signe de la réussite du travail des designers d'Ital Design, qui ont esquissé les traits de cette voiture pour Suzuki.
La JLX que nous avons conduite était équipée du système de télédéverrouillage et de démarrage sans clé « SmartPass ». Suzuki offre ce système depuis 2007 et seulement sur le modèle JLX. À l'origine, il était même jumelé aux seuls modèles équipés de l'antidérapage, offert en option l'an dernier. Cette année, puisque l'antidérapage fait partie de l'équipement de série des JLX, il en va de même pour ce système.
Le SmartPass utilise un transpondeur pour déverrouiller la voiture. Avec le boîtier SmartPass dans la poche, il suffit d'appuyer sur un minuscule bouton de caoutchouc encastré dans la poignée de porte du côté conducteur ou sur celui de la moulure du hayon. Un bouton si petit qu'un ongle a la taille idéale pour l'enfoncer ! Une fois assis derrière le volant, le transpondeur transmet un signal à l'antidémarreur qui permet le démarrage.
Suspension ferme
Sur la route, on découvre une compacte amusante à conduire grâce à une servodirection précise et des freins dont l'action est bien dosée. Un faible rayon de braquage rend cette petite voiture très maniable. En outre, la suspension est ferme, suffisamment pour permettre aux occupants de la banquette arrière de jauger la qualité du revêtement de la route. En courbe, le roulis est limité. De plus, la SX4 ne s'écrase pas sur son train avant au freinage.
Le 4-cylindres multisoupape offre des performances convenables, mais sans plus. Les 143 chevaux livrés par ce moteur de 2 litres défilent de façon très progressive. On ne sent jamais la horde s'élancer au galop ! Admettons que cela convient, compte tenu de la vocation familiale de cette voiture.
Comme la berline, cependant, la SX4 à hayon offre des sièges baquets dont l'assise est haute. Avec la généreuse surface vitrée avant et le capot très plongeant, le conducteur bénéficie d'un excellent champ de vision avant. Seuls les montants du pare-brise, très incliné, gênent parfois, quand on effectue un virage serré, par exemple.
Les commandes logées au tableau de bord sont réunies principalement sur sa portion centrale. Ces gros commutateurs sont faciles à repérer et à utiliser. Au sommet de cette section, une petite visière recèle une horloge numérique et un indicateur de la température extérieure, deux afficheurs pratiques qui, en raison de la couleur rougeâtre de leurs cristaux liquides, sont malheureusement difficiles à consulter en plein jour.
En outre, le volant est inclinable mais pas télescopique. Dommage, car cela permettrait d'optimiser davantage le confort du conducteur.
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| La visibilité est bonne et le dégagement pour la tête généreux. |
Un ligne qui plaît
La silhouette moderne de la SX4 à hayon plaît. À maintes reprises, des badauds nous ont demandé quelle était cette voiture que nous conduisions et qu'ils trouvaient si jolie. Un signe de la réussite du travail des designers d'Ital Design, qui ont esquissé les traits de cette voiture pour Suzuki.
La JLX que nous avons conduite était équipée du système de télédéverrouillage et de démarrage sans clé « SmartPass ». Suzuki offre ce système depuis 2007 et seulement sur le modèle JLX. À l'origine, il était même jumelé aux seuls modèles équipés de l'antidérapage, offert en option l'an dernier. Cette année, puisque l'antidérapage fait partie de l'équipement de série des JLX, il en va de même pour ce système.
Le SmartPass utilise un transpondeur pour déverrouiller la voiture. Avec le boîtier SmartPass dans la poche, il suffit d'appuyer sur un minuscule bouton de caoutchouc encastré dans la poignée de porte du côté conducteur ou sur celui de la moulure du hayon. Un bouton si petit qu'un ongle a la taille idéale pour l'enfoncer ! Une fois assis derrière le volant, le transpondeur transmet un signal à l'antidémarreur qui permet le démarrage.
Suspension ferme
Sur la route, on découvre une compacte amusante à conduire grâce à une servodirection précise et des freins dont l'action est bien dosée. Un faible rayon de braquage rend cette petite voiture très maniable. En outre, la suspension est ferme, suffisamment pour permettre aux occupants de la banquette arrière de jauger la qualité du revêtement de la route. En courbe, le roulis est limité. De plus, la SX4 ne s'écrase pas sur son train avant au freinage.
Le 4-cylindres multisoupape offre des performances convenables, mais sans plus. Les 143 chevaux livrés par ce moteur de 2 litres défilent de façon très progressive. On ne sent jamais la horde s'élancer au galop ! Admettons que cela convient, compte tenu de la vocation familiale de cette voiture.
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| Le moteur s'acquitte bien de sa tâche sans plus. |