Un très bel équilibre entre performances et comportement très homogène
Le moteur utilisé dans cette version XR est un increvable quatre cylindres de 1.8 li, peu polluant (ULEV), profitant du système de calage et levée variable des soupapes (VVT-i), à double arbres à cames en tête/16 soupapes, à injection multipoint et séquentielle qui développe 130 cv à 6 000 tm et 124 lb-pi de couple à 4 200 tm. Au démarrage, il est plutôt bruyant, mais par la suite, il revient à la normale. Contrairement à ce que nous avait habitué Toyota, ce dernier est peu discret lorsque sollcité, ce qui contraste grandement avec la grande discrétion offerte par ce même moteur ou presque, sous le capot de la Toyota Corolla.
La boîte de vitesses manuelle à cinq vitesses est bien synchronisée et très efficace. L'emplacement du levier de vitesse au centre de la planche de bord est originale, personnellement je préfère le bras de vitesses placé au plancher.
L'insonorisation n'est pas son point le plus intéressant, surtout lorsque l'on dépasse les 110 km/hre et que nous avons un bon vent de face. Au niveau des ailes c'est bien, mais il y a place à l'amélioration entre le compartiment-moteur et l'habitacle.
Les performances sont des plus agréables et ce à tous les niveaux. D'une part nous profitons d'accélérations assez vives et puissantes, sans oublier des reprises qui peuvent être très mordantes à condition d'utiliser à bon escient les possibilités de la boîte de vitesses à cinq vitesses. Au niveau de sa consommation de carburant, notre Toyota MATRIX annonce un débit moyen ville/route (110 km/hre) de 9.5 li/100 km ou 30.0 mi/gal.
La direction est assistée à crémaillère. Or, même sans assistance variable, c'est ce type de direction que j'aime lorsque je prends le volant d'un véhicule. A savoir, avec une certaine fermeté, mais jamais pour nuire à toute aisance, en conduite urbaine ainsi qu'au niveau des manoeuvres de stationnement, et qui sait se faire relativement ferme et précise sur la route. Ce qui est heureusement le cas de notre MATRIX .
Le moteur utilisé dans cette version XR est un increvable quatre cylindres de 1.8 li, peu polluant (ULEV), profitant du système de calage et levée variable des soupapes (VVT-i), à double arbres à cames en tête/16 soupapes, à injection multipoint et séquentielle qui développe 130 cv à 6 000 tm et 124 lb-pi de couple à 4 200 tm. Au démarrage, il est plutôt bruyant, mais par la suite, il revient à la normale. Contrairement à ce que nous avait habitué Toyota, ce dernier est peu discret lorsque sollcité, ce qui contraste grandement avec la grande discrétion offerte par ce même moteur ou presque, sous le capot de la Toyota Corolla.
La boîte de vitesses manuelle à cinq vitesses est bien synchronisée et très efficace. L'emplacement du levier de vitesse au centre de la planche de bord est originale, personnellement je préfère le bras de vitesses placé au plancher.
L'insonorisation n'est pas son point le plus intéressant, surtout lorsque l'on dépasse les 110 km/hre et que nous avons un bon vent de face. Au niveau des ailes c'est bien, mais il y a place à l'amélioration entre le compartiment-moteur et l'habitacle.
Les performances sont des plus agréables et ce à tous les niveaux. D'une part nous profitons d'accélérations assez vives et puissantes, sans oublier des reprises qui peuvent être très mordantes à condition d'utiliser à bon escient les possibilités de la boîte de vitesses à cinq vitesses. Au niveau de sa consommation de carburant, notre Toyota MATRIX annonce un débit moyen ville/route (110 km/hre) de 9.5 li/100 km ou 30.0 mi/gal.
La direction est assistée à crémaillère. Or, même sans assistance variable, c'est ce type de direction que j'aime lorsque je prends le volant d'un véhicule. A savoir, avec une certaine fermeté, mais jamais pour nuire à toute aisance, en conduite urbaine ainsi qu'au niveau des manoeuvres de stationnement, et qui sait se faire relativement ferme et précise sur la route. Ce qui est heureusement le cas de notre MATRIX .