Pour ma part, là où le bât blesse, se situe à l’arrière de la Matrix. Je n’arrive toujours pas à croire que quelqu’un chez Toyota a cru bon de ne pas automatiquement tapisser le plancher du coffre, ni le dossier des sièges arrière. Euh, allô? J’ai failli perdre la boule à deux occasions distinctes. Comme la plupart des consommateurs, je conserve toujours un contenant de lave-glace dans la voiture, que je dépose dans un porte-contenant prévu à cet effet. Je n’entrerai pas dans les détails, mais imaginez le porte-bouteille et son contenu qui revole dans le coffre chaque fois qu’on donne le moindre coup de volant. Idem pour les bagages que j’ai transportés et qui ont considérablement égratigné le plancher.
La vraie différence
En plus de l’importante mise à jour opérée pour l’année modèle 2009, on a redonné à la Matrix le tonus dont elle avait grandement besoin. Le moteur à 4 cylindres de 1,8 litre précédent se montrait adéquat dans le meilleur des cas, lorsque la voiture transportait deux passagers et un peu d’équipement. Les versions AWD et XRS n’ont pas fait mieux. Ça s’avérait particulièrement vrai de la version à transmission intégrale, dont on a dû réduire la puissance nominale à cause de restrictions d’échappement supplémentaires.
Le même moteur somnole toujours sous le capot de la Matrix, mais que dans le modèle de base cette fois-ci. Tous les autres, les XR, XRS et AWD, comptent sur un 4 cylindres de 2,4 litres qui a servi la Camry et le RAV4. Produisant 158 ch et 162 pi-lb de couple, il valorise beaucoup mieux le potentiel de la Matrix. Même si des boîtes automatique et manuelle à 5 rapports peuvent l’accompagner, la version à transmission intégrale doit se contenter d’une boîte automatique à quatre rapports plutôt vieux jeu.
Du punch à l’ordre du jour
J’ai eu le plaisir de découvrir en la Matrix XR AWD une voiture très fringante. Les accélérations étaient immédiates, amenant rapidement les 1 485 corpulents kilos à vitesse de croisière. Parce que les conditions routières étaient idéales, j’ai eu de la difficulté à établir si la transmission intégrale (empruntée au RAV4) était en partie responsable de ces vives accélérations.
Où la boîte à quatre vitesses a peut-être nui, se trouve du côté de la consommation. J’ai enregistré une moyenne juste au-delà de 10 litres aux 100 km, loin d’un rendement mirobolant. Une boîte à 5 rapports, ou à 6 rapports comme de nombreux rivaux, aurait fait toute une différence.
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| Les XR, XRS et AWD, comptent sur un 4 cylindres de 2,4 litres produisant 158 ch et 162 pi-lb de couple. |
La vraie différence
En plus de l’importante mise à jour opérée pour l’année modèle 2009, on a redonné à la Matrix le tonus dont elle avait grandement besoin. Le moteur à 4 cylindres de 1,8 litre précédent se montrait adéquat dans le meilleur des cas, lorsque la voiture transportait deux passagers et un peu d’équipement. Les versions AWD et XRS n’ont pas fait mieux. Ça s’avérait particulièrement vrai de la version à transmission intégrale, dont on a dû réduire la puissance nominale à cause de restrictions d’échappement supplémentaires.
Le même moteur somnole toujours sous le capot de la Matrix, mais que dans le modèle de base cette fois-ci. Tous les autres, les XR, XRS et AWD, comptent sur un 4 cylindres de 2,4 litres qui a servi la Camry et le RAV4. Produisant 158 ch et 162 pi-lb de couple, il valorise beaucoup mieux le potentiel de la Matrix. Même si des boîtes automatique et manuelle à 5 rapports peuvent l’accompagner, la version à transmission intégrale doit se contenter d’une boîte automatique à quatre rapports plutôt vieux jeu.
Du punch à l’ordre du jour
J’ai eu le plaisir de découvrir en la Matrix XR AWD une voiture très fringante. Les accélérations étaient immédiates, amenant rapidement les 1 485 corpulents kilos à vitesse de croisière. Parce que les conditions routières étaient idéales, j’ai eu de la difficulté à établir si la transmission intégrale (empruntée au RAV4) était en partie responsable de ces vives accélérations.
Où la boîte à quatre vitesses a peut-être nui, se trouve du côté de la consommation. J’ai enregistré une moyenne juste au-delà de 10 litres aux 100 km, loin d’un rendement mirobolant. Une boîte à 5 rapports, ou à 6 rapports comme de nombreux rivaux, aurait fait toute une différence.
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| Étonnamment, la suspension entièrement indépendante réussit bien à privilégier à la fois le confort et la sportivité. |