Faible consommation, oui, mais conduite agréable aussi
L'ancienne génération de la Prius n'était pas une voiture que je trouvais particulièrement agréable à conduire. Elle me paraissait peu raffinée et relativement bon marché. Ces lacunes ont toutefois été corrigées pour 2010. La nouvelle hybride de Toyota offre une expérience de conduite beaucoup plus relevée.
La transition entre le mode 100 % électrique et le mode hybride s'effectue désormais avec plus de douceur et de fluidité. Dans l'ensemble, la motorisation est aussi plus silencieuse et plus raffinée dans son fonctionnement. Cette amélioration par rapport aux années précédentes est accompagnée d'une performance accrue à plusieurs égards.
Trois modes de puissance
La Toyota Prius 2010 est une petite bête franchement intéressante à dompter en mode de puissance. La réponse de l'accélérateur est instantanée et assez ferme pour une voiture de cette classe. Même en conduite normale, la Prius livre des accélérations satisfaisantes.
Quand on change pour le mode économique, toutefois, la dynamique est considérablement altérée. À ce moment, un sentiment de lenteur et de mollesse éclipse toute notion de performance. Ceci ne veut pas dire qu'il faut éviter ce mode. Bien au contraire, il améliore le rendement énergétique tout en permettant à la voiture de suivre le rythme de la circulation avec facilité. C'est juste qu'il faut appuyer plus fort avec le pied droit pour sentir un quelconque entrain.
Le troisième et dernier mode est le mode électrique seul. C'est celui que j'ai le plus apprécié, car il nous permet d'exploiter uniquement et de manière réaliste le moteur électrique de la Prius sur une distance de quelques kilomètres. L'énergie provient seulement des batteries... à condition de rouler en deçà de 40 km/h et de ne jamais être pressé.
Quand la batterie est presque vide ou quand une plus grande force d'accélération est requise, le moteur à combustion intervient. Mais la véritable beauté du mode électrique est le fait de pouvoir quitter l'autoroute et d'emprunter les rues qui nous séparent de la maison sans vraiment dépenser de l'essence -- et donc de l'argent!
L'ancienne génération de la Prius n'était pas une voiture que je trouvais particulièrement agréable à conduire. Elle me paraissait peu raffinée et relativement bon marché. Ces lacunes ont toutefois été corrigées pour 2010. La nouvelle hybride de Toyota offre une expérience de conduite beaucoup plus relevée.
La transition entre le mode 100 % électrique et le mode hybride s'effectue désormais avec plus de douceur et de fluidité. Dans l'ensemble, la motorisation est aussi plus silencieuse et plus raffinée dans son fonctionnement. Cette amélioration par rapport aux années précédentes est accompagnée d'une performance accrue à plusieurs égards.
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| Le troisième et dernier mode est le mode électrique seul et c'est celui que j'ai le plus apprécié. |
Trois modes de puissance
La Toyota Prius 2010 est une petite bête franchement intéressante à dompter en mode de puissance. La réponse de l'accélérateur est instantanée et assez ferme pour une voiture de cette classe. Même en conduite normale, la Prius livre des accélérations satisfaisantes.
Quand on change pour le mode économique, toutefois, la dynamique est considérablement altérée. À ce moment, un sentiment de lenteur et de mollesse éclipse toute notion de performance. Ceci ne veut pas dire qu'il faut éviter ce mode. Bien au contraire, il améliore le rendement énergétique tout en permettant à la voiture de suivre le rythme de la circulation avec facilité. C'est juste qu'il faut appuyer plus fort avec le pied droit pour sentir un quelconque entrain.
Le troisième et dernier mode est le mode électrique seul. C'est celui que j'ai le plus apprécié, car il nous permet d'exploiter uniquement et de manière réaliste le moteur électrique de la Prius sur une distance de quelques kilomètres. L'énergie provient seulement des batteries... à condition de rouler en deçà de 40 km/h et de ne jamais être pressé.
Quand la batterie est presque vide ou quand une plus grande force d'accélération est requise, le moteur à combustion intervient. Mais la véritable beauté du mode électrique est le fait de pouvoir quitter l'autoroute et d'emprunter les rues qui nous séparent de la maison sans vraiment dépenser de l'essence -- et donc de l'argent!
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| L'énergie provient seulement des batteries... à condition de rouler en deçà de 40 km/h et de ne jamais être pressé. |