La journée de conduite Hyundai à Bowmanville | Photo : M.St-Pierre / J.Pritchard
Bowmanville, ON – Fondée à la fin de 1967, le constructeur automobile sud-coréen Hyundai fête en 2013 ses 30 ans d’activité au Canada. Comme le temps file, n’est-ce pas?
De ses humbles débuts avec la Pony pestiférée, jusqu'à ses 140 000 véhicules vendus en 2013 au Canada, Hyundai est l’image même de la détermination. Et si l’on en croit l’équipe de direction, la société est là pour rester. J'ai tendance à les croire.
Le succès phénoménal de Hyundai au Canada est le fruit d'un ensemble de propositions, mais la plus importante demeure le rapport qualité-prix. Puisque de nos jours, l’esthétisme s’est hissé bon deuxième quant aux motivations d’achat des consommateurs, on peut extrapoler que, non seulement les consommateurs considèrent qu'ils en ont pour leur argent, mais qu’ils sont également tombés en amour avec le style Hyundai.
Grâce à une approche qui suscite un mélange d’émotion et de rationalité, Hyundai s’est forgée indubitablement une position très enviée par les autres constructeurs automobiles, mais que peu ont réussi à atteindre avec autant de succès.
Alors, comment un constructeur célèbre-t-il un tel exploit? Tout simplement en réunissant un groupe de chroniqueurs automobiles au Motorsports Park de Canadian Tire (mieux connu sous le pseudonyme Mosport et ci-après dénommé CTMP) pour qu'ils s'élancent sur la piste au volant de ses voitures.
La Veloster Turbo 2013 au milieu des cônes
Le slalom chronométré figurait parmi les épreuves programmées pour que nous puissions pousser à fond la voiture. C’est une activité qui exacerbe la compétitivité en opposant maîtrise du volant aux capacités de freinage, d’accélération et d’adhérence de la voiture.
Comme les chroniqueurs automobiles sont plutôt du genre compétitif, la température est vite montée d’un cran. Un pointage initial très élevé a été établi par le coréen Stig, mais heureusement, la marque a été battue par un chroniqueur (eh non, ce n’était pas votre humble serviteur). Par contre, j'ai terminé 2e au classement final de fin de journée, ce qui n’était pas si mal.
La Veloster Turbo s’est comportée à merveille, malgré les abus répétés que nous lui avons infligés pour tirer le maximum de son moteur turbo 1,6 litre, de ses freins à disques aux 4 roues et de ses pneus surdimensionnés de 18 po.
De ses humbles débuts avec la Pony pestiférée, jusqu'à ses 140 000 véhicules vendus en 2013 au Canada, Hyundai est l’image même de la détermination. Et si l’on en croit l’équipe de direction, la société est là pour rester. J'ai tendance à les croire.
Le succès phénoménal de Hyundai au Canada est le fruit d'un ensemble de propositions, mais la plus importante demeure le rapport qualité-prix. Puisque de nos jours, l’esthétisme s’est hissé bon deuxième quant aux motivations d’achat des consommateurs, on peut extrapoler que, non seulement les consommateurs considèrent qu'ils en ont pour leur argent, mais qu’ils sont également tombés en amour avec le style Hyundai.
Grâce à une approche qui suscite un mélange d’émotion et de rationalité, Hyundai s’est forgée indubitablement une position très enviée par les autres constructeurs automobiles, mais que peu ont réussi à atteindre avec autant de succès.
Alors, comment un constructeur célèbre-t-il un tel exploit? Tout simplement en réunissant un groupe de chroniqueurs automobiles au Motorsports Park de Canadian Tire (mieux connu sous le pseudonyme Mosport et ci-après dénommé CTMP) pour qu'ils s'élancent sur la piste au volant de ses voitures.
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| Photo: Mathieu St-Pierre |
La Veloster Turbo 2013 au milieu des cônes
Le slalom chronométré figurait parmi les épreuves programmées pour que nous puissions pousser à fond la voiture. C’est une activité qui exacerbe la compétitivité en opposant maîtrise du volant aux capacités de freinage, d’accélération et d’adhérence de la voiture.
Comme les chroniqueurs automobiles sont plutôt du genre compétitif, la température est vite montée d’un cran. Un pointage initial très élevé a été établi par le coréen Stig, mais heureusement, la marque a été battue par un chroniqueur (eh non, ce n’était pas votre humble serviteur). Par contre, j'ai terminé 2e au classement final de fin de journée, ce qui n’était pas si mal.
La Veloster Turbo s’est comportée à merveille, malgré les abus répétés que nous lui avons infligés pour tirer le maximum de son moteur turbo 1,6 litre, de ses freins à disques aux 4 roues et de ses pneus surdimensionnés de 18 po.
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| Photo: Justin Pritchard |