Le moteur optionnel est un V6 de 3,6 litres faisant également appel à cette technologie. Il produit 280 ch à 6 200 tours et 265 pi-lb de couple à 2 750 tours.
Les deux moteurs peuvent être jumelés à l’incroyable boîte Direct Shift Gearbox (DSG) à six rapports signée Volkswagen, et c’était le cas de mon modèle. Une boîte manuelle à six rapports est livrée de série sur la 2.0T.
Cet organe issu de la course change les rapports instantanément, sans le glissement typique d’un rapport à l’autre qui cause la perte momentanée de vitesse.
Une fois qu’on s’est habitué au fonctionnement distinct et inspirant de la DSG, les boîtes automatiques traditionnelles semblent désuètes… et ça en devient frappant quand il faut intégrer la circulation qui file à toute allure. L’étagement vif et parfait des rapports est immensément satisfaisant, tout comme les autres aspects de la dynamique de conduite de la CC.
Derrière le volant
Tout d’abord, malgré la ligne de toit rappelant le coupé, il y beaucoup de dégagement pour la tête et les jambes à l’avant, et plus de place à l’arrière qu’on ne s’y attendrait… même si les échalotes de 6 pieds ne seront pas tout à fait d’accord! L’ergonomie de l’habitacle huppé et légèrement avant-gardiste était excellente, créant un environnement charmant d’où sonder le potentiel de la CC.
Il faut noter que les sièges arrière sont conçus pour accueillir deux passagers, et non le trio habituel de profiteurs.
En effet, la CC ne se montre pas trop conciliante envers les grandes familles.
Qu’on attaque la route avec enthousiasme ou qu’on accomplisse les tâches obligatoires du quotidien, lesquelles sont simplifiées par le grand coffre et les sièges arrière rabattables, la CC recèle un grand potentiel. En plus de son côté pratique, la svelte Passat a un petit penchant pour le sport qui se révèle sur les tortueux chemins de campagne.
Les deux moteurs peuvent être jumelés à l’incroyable boîte Direct Shift Gearbox (DSG) à six rapports signée Volkswagen, et c’était le cas de mon modèle. Une boîte manuelle à six rapports est livrée de série sur la 2.0T.
Cet organe issu de la course change les rapports instantanément, sans le glissement typique d’un rapport à l’autre qui cause la perte momentanée de vitesse.
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| L’ergonomie de l’habitacle huppé et légèrement avant-gardiste était excellente, créant un environnement charmant d’où sonder le potentiel de la CC. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Une fois qu’on s’est habitué au fonctionnement distinct et inspirant de la DSG, les boîtes automatiques traditionnelles semblent désuètes… et ça en devient frappant quand il faut intégrer la circulation qui file à toute allure. L’étagement vif et parfait des rapports est immensément satisfaisant, tout comme les autres aspects de la dynamique de conduite de la CC.
Derrière le volant
Tout d’abord, malgré la ligne de toit rappelant le coupé, il y beaucoup de dégagement pour la tête et les jambes à l’avant, et plus de place à l’arrière qu’on ne s’y attendrait… même si les échalotes de 6 pieds ne seront pas tout à fait d’accord! L’ergonomie de l’habitacle huppé et légèrement avant-gardiste était excellente, créant un environnement charmant d’où sonder le potentiel de la CC.
Il faut noter que les sièges arrière sont conçus pour accueillir deux passagers, et non le trio habituel de profiteurs.
En effet, la CC ne se montre pas trop conciliante envers les grandes familles.
Qu’on attaque la route avec enthousiasme ou qu’on accomplisse les tâches obligatoires du quotidien, lesquelles sont simplifiées par le grand coffre et les sièges arrière rabattables, la CC recèle un grand potentiel. En plus de son côté pratique, la svelte Passat a un petit penchant pour le sport qui se révèle sur les tortueux chemins de campagne.
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| Il faut noter que les sièges arrière sont conçus pour accueillir deux passagers, et non le trio habituel de profiteurs. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |