Sur papier, elle accuse peut-être un manque de puissance par rapport à la MAZDASPEED3 de 263 chevaux, or, sachez que la GTI ne souffre pas d’effet de couple au volant comme la Mazda. La VW avec la boîte séquentielle automatisée DSG inclut un dispositif de contrôle au décollage, mais pas l’excellente boîte manuelle qui équipe notre voiture d’essai.
N’empêche que la GTI manuelle réussit facilement ses décollages, permettant le 0-100 km/h en 6,9 secondes et le quart de mille en 14,8 secondes à 156 km/h.
Le couple omniprésent du moteur devient enivrant et vous incite à constamment avoir le pied au plancher, même si vous allez lever ledit pied à 50 km/h pour respecter la limite de vitesse urbaine. Le moteur de 2,0 litres de la Civic Si se révèle plaisant, bien que son manque de couple signifie que l’on doit le rincer jusqu’à la ligne rouge pour extraire son plein potentiel : c’était amusant quand j’avais 20 ans … plus maintenant.
La GTI se comporte très bien, évidemment. On la sent bien équilibrée, la suspension et la direction précise sont parfaitement calibrées, et elles se montrent aussi compétentes lorsqu’on ne circule pas en conduite sportive : le roulement n’est pas saccadé sur les surfaces abîmées, et la voiture ne nécessite pas de constantes corrections du volant sur l’autoroute. Cette voiture ne demande aucun sacrifice.
Bon, peut-être un : elle exige du carburant super. Malgré son muscle, elle est plutôt économique. Notre moyenne s’élève à 10,2 L/100 km, incapables de résister au couple du moteur. Par exemple, si vous effectuez de l’écoconduite, vous pouvez obtenir une moyenne de 8,5 à 9,0 L/100 km. Encore là, de l’écoconduite dans une GTI, c’est comme aller au club de danseuses juste pour boire un Coke, mais les deux peuvent se faire.
À l’intérieur, la GTI continue de se démarquer d’à peu près toutes les autres voitures sur le marché avec sa garniture des sièges en tissu écossais, ou ce que VW appelle Interlagos. Les sièges sont magnifiquement soutenants et confortables, toutefois, ne vous attendez pas à des réglages électriques, à l’exception du soutien lombaire avec la sellerie de cuir, chose que nous ne commanderions pas de toute façon.
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| Le 4-cylindres turbo de 2,0 litres avec injection directe reste un de nos moteurs favoris. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
N’empêche que la GTI manuelle réussit facilement ses décollages, permettant le 0-100 km/h en 6,9 secondes et le quart de mille en 14,8 secondes à 156 km/h.
Le couple omniprésent du moteur devient enivrant et vous incite à constamment avoir le pied au plancher, même si vous allez lever ledit pied à 50 km/h pour respecter la limite de vitesse urbaine. Le moteur de 2,0 litres de la Civic Si se révèle plaisant, bien que son manque de couple signifie que l’on doit le rincer jusqu’à la ligne rouge pour extraire son plein potentiel : c’était amusant quand j’avais 20 ans … plus maintenant.
La GTI se comporte très bien, évidemment. On la sent bien équilibrée, la suspension et la direction précise sont parfaitement calibrées, et elles se montrent aussi compétentes lorsqu’on ne circule pas en conduite sportive : le roulement n’est pas saccadé sur les surfaces abîmées, et la voiture ne nécessite pas de constantes corrections du volant sur l’autoroute. Cette voiture ne demande aucun sacrifice.
Bon, peut-être un : elle exige du carburant super. Malgré son muscle, elle est plutôt économique. Notre moyenne s’élève à 10,2 L/100 km, incapables de résister au couple du moteur. Par exemple, si vous effectuez de l’écoconduite, vous pouvez obtenir une moyenne de 8,5 à 9,0 L/100 km. Encore là, de l’écoconduite dans une GTI, c’est comme aller au club de danseuses juste pour boire un Coke, mais les deux peuvent se faire.
À l’intérieur, la GTI continue de se démarquer d’à peu près toutes les autres voitures sur le marché avec sa garniture des sièges en tissu écossais, ou ce que VW appelle Interlagos. Les sièges sont magnifiquement soutenants et confortables, toutefois, ne vous attendez pas à des réglages électriques, à l’exception du soutien lombaire avec la sellerie de cuir, chose que nous ne commanderions pas de toute façon.
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| À l’intérieur, la GTI continue de se démarquer d’à peu près toutes les autres voitures sur le marché avec sa garniture des sièges en tissu écossais. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |