4Motion toujours de garde
Alors que les efforts de marketing mettent l’accent sur la nouvelle finesse routière du Touareg, ses compétences hors route demeurent pratiquement intactes. Même s’il n’y a plus de suspension pneumatique pour augmenter la garde au sol, le Touareg regorge toujours d’équipement tout terrain idéal :
On peut choisir entre un réglage mécanique pour la route ou les sentiers. Ce dernier modifie la cartographie du différentiel et de la boîte de vitesses et actionne les dispositifs d’aide ci-dessus. Nous ne l’avons pas mis à l’essai, mais Volkswagen avance un angle d’ascension de 31 degrés sur tout type de surface. Et évidemment, le Touareg fait toujours belle figure dans les rallyes internationaux, comme le Paris-Dakar, dont il est sorti victorieux cette année (tout comme l’an dernier).
Au volant
Le premier modèle que nous avons essayé était une version de milieu de gamme animée par le V6 FSI de 3,6 litres. (Dans le jargon du constructeur, FSI correspond à l’injection directe.) Il produit 280 ch et 265 pi-lb de couple et entraîne adéquatement le Touareg, selon les normes de la catégorie.
La position de conduite et l’ergonomie sont toutes deux excellentes. Le siège du conducteur semble plus douillet et relève plus du « cockpit » que celui d’autres VUS et multisegments de taille semblable. Mais le nouvel habitacle est parfaitement invitant en soi, surtout orné de cuir et de boiseries comme notre bolide d’essai.
VW et Audi continuent à montrer au monde entier comment on construit un habitacle de calibre international. Et je ne dis pas ça parce que j’étais si heureux de monter dans le Touareg après plusieurs séances photos tenues dans le vent « vivifiant » de l’Alberta! (Je ne devrais pas me plaindre : à midi la température avait atteint -28 beaux degrés tropicaux!)
Je peine à imaginer un véhicule que je préférerais conduire sur ces routes secondaires montagneuses et enneigées au cœur de l’Alberta. Certes plus svelte que les modèles précédents, le nouveau Touareg n’est pas un poids plume pour autant (2 137 à 2 256 kg). Cette corpulence contribue à la sensation de stabilité, et le Touareg se comportait bien en virage, sans s’incliner et en demeurant relativement neutre.
Alors que les efforts de marketing mettent l’accent sur la nouvelle finesse routière du Touareg, ses compétences hors route demeurent pratiquement intactes. Même s’il n’y a plus de suspension pneumatique pour augmenter la garde au sol, le Touareg regorge toujours d’équipement tout terrain idéal :
- transmission intégrale 4Motion, avec gamme basse et distribution adaptative du couple;
- différentiel longitudinal Torsen autobloquant (électronique);
- antipatinage;
- contrôle du frein moteur;
- dispositif d’aide à la descente;
- dispositif d’aide à la montée.
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| Le premier modèle que nous avons essayé était une version de milieu de gamme animée par le V6 FSI de 3,6 litres. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
On peut choisir entre un réglage mécanique pour la route ou les sentiers. Ce dernier modifie la cartographie du différentiel et de la boîte de vitesses et actionne les dispositifs d’aide ci-dessus. Nous ne l’avons pas mis à l’essai, mais Volkswagen avance un angle d’ascension de 31 degrés sur tout type de surface. Et évidemment, le Touareg fait toujours belle figure dans les rallyes internationaux, comme le Paris-Dakar, dont il est sorti victorieux cette année (tout comme l’an dernier).
Au volant
Le premier modèle que nous avons essayé était une version de milieu de gamme animée par le V6 FSI de 3,6 litres. (Dans le jargon du constructeur, FSI correspond à l’injection directe.) Il produit 280 ch et 265 pi-lb de couple et entraîne adéquatement le Touareg, selon les normes de la catégorie.
La position de conduite et l’ergonomie sont toutes deux excellentes. Le siège du conducteur semble plus douillet et relève plus du « cockpit » que celui d’autres VUS et multisegments de taille semblable. Mais le nouvel habitacle est parfaitement invitant en soi, surtout orné de cuir et de boiseries comme notre bolide d’essai.
VW et Audi continuent à montrer au monde entier comment on construit un habitacle de calibre international. Et je ne dis pas ça parce que j’étais si heureux de monter dans le Touareg après plusieurs séances photos tenues dans le vent « vivifiant » de l’Alberta! (Je ne devrais pas me plaindre : à midi la température avait atteint -28 beaux degrés tropicaux!)
Je peine à imaginer un véhicule que je préférerais conduire sur ces routes secondaires montagneuses et enneigées au cœur de l’Alberta. Certes plus svelte que les modèles précédents, le nouveau Touareg n’est pas un poids plume pour autant (2 137 à 2 256 kg). Cette corpulence contribue à la sensation de stabilité, et le Touareg se comportait bien en virage, sans s’incliner et en demeurant relativement neutre.
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| Le nouvel habitacle est parfaitement invitant en soi, surtout orné de cuir et de boiseries comme notre bolide d’essai. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |