Qui plus est, le TDI de 3,0 litres développe un couple faramineux de 406 livres-pied pour accompagner sa modeste puissance de 225 chevaux. Ce moteur ne fait pas du Touareg un «dragster», mais une fois dans la zone de régime optimale, la boîte automatique à six rapports et le système de traction intégrale 4MOTION entraînent superbement les quatre roues. Ce dernier, en passant, comporte une gamme basse et un dispositif de répartition active du couple qui le rendent hautement compétent et serviable.
Assez, c’est assez!
Je fais preuve de patience et d’indulgence depuis plus de 10 ans, mais là, je n’en peux plus : Volkswagen doit revoir complètement son accélérateur électronique. Voyez-vous, quand on enfonce la pédale d’accélérateur, rien ne se produit immédiatement. Il faut attendre quelques fractions de seconde avant que le cerveau du moteur réagisse au désir du conducteur.
Le truc que j’ai trouvé, c’est d’utiliser les deux pieds (dans le cas d’un modèle à boîte automatique ou DSG) afin de ne jamais relâcher totalement l’accélérateur, ce qui élimine le «point mort» agaçant en début de course de la pédale. Ce système, nous disent les ingénieurs de Volkswagen, améliorerait l’efficacité énergétique du véhicule. Foutaise! Qu’ils trouvent une autre solution!
Une place de choix dans mon garage
Se vendant à partir de 45 300 $, le Volkswagen Touareg 2010 n’est pas donné et il se positionne dans les échelons supérieurs de sa catégorie. Il rivalise tantôt avec les Toyota 4Runner, Ford Explorer et Nissan Pathfinder, tantôt avec des modèles plus huppés comme les Audi Q7, Infiniti FX, Lexus RX et BMW X5. Ces derniers posent tout un défi, mais considérant son raffinement et son arsenal de pointe, le Touareg peut se débrouiller.
La version Comfortline mise à l’essai valait 56 950 $ avec les différentes options incluses, ce qui est à peine supérieur au prix de 52 000 $ du 4Runner que j’ai aussi conduit. Personnellement, pour le pur plaisir qu’on ressent au volant, je choisirais le Touareg. Pour quelque chose de plus confortable et sécuritaire, je pencherais vers le Toyota. D’une façon ou d’une autre, ces deux VUS se situent au-dessus de la moyenne, ce qui explique leur survie.
photo:Matthieu Lambert
Assez, c’est assez!
Je fais preuve de patience et d’indulgence depuis plus de 10 ans, mais là, je n’en peux plus : Volkswagen doit revoir complètement son accélérateur électronique. Voyez-vous, quand on enfonce la pédale d’accélérateur, rien ne se produit immédiatement. Il faut attendre quelques fractions de seconde avant que le cerveau du moteur réagisse au désir du conducteur.
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| La suspension indépendante sophistiquée réussit à merveille à camoufler le gabarit du Touareg. |
Le truc que j’ai trouvé, c’est d’utiliser les deux pieds (dans le cas d’un modèle à boîte automatique ou DSG) afin de ne jamais relâcher totalement l’accélérateur, ce qui élimine le «point mort» agaçant en début de course de la pédale. Ce système, nous disent les ingénieurs de Volkswagen, améliorerait l’efficacité énergétique du véhicule. Foutaise! Qu’ils trouvent une autre solution!
Une place de choix dans mon garage
Se vendant à partir de 45 300 $, le Volkswagen Touareg 2010 n’est pas donné et il se positionne dans les échelons supérieurs de sa catégorie. Il rivalise tantôt avec les Toyota 4Runner, Ford Explorer et Nissan Pathfinder, tantôt avec des modèles plus huppés comme les Audi Q7, Infiniti FX, Lexus RX et BMW X5. Ces derniers posent tout un défi, mais considérant son raffinement et son arsenal de pointe, le Touareg peut se débrouiller.
La version Comfortline mise à l’essai valait 56 950 $ avec les différentes options incluses, ce qui est à peine supérieur au prix de 52 000 $ du 4Runner que j’ai aussi conduit. Personnellement, pour le pur plaisir qu’on ressent au volant, je choisirais le Touareg. Pour quelque chose de plus confortable et sécuritaire, je pencherais vers le Toyota. D’une façon ou d’une autre, ces deux VUS se situent au-dessus de la moyenne, ce qui explique leur survie.
photo:Matthieu Lambert
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