Arborant des roues massives au design «sexy», le Touareg se dresse fièrement comme un Allemand, mais il ne s’en vante pas. Même recette à l’intérieur. À partir d’aussi loin que 1993, la compagnie a démontré qu’elle pouvait concevoir et assembler des habitacles raffinés et pleins de style tout en assoyant confortablement les occupants. Les sièges en similicuir Beige pur de mon exemplaire me faisaient presque regretter de sortir du véhicule.
Une question de conduite
Ma semaine en compagnie du Touareg TDI Comfortline 2010 s’est déroulée sans le moindre petit incident. Mieux encore, je me suis amusé, beaucoup plus en fait qu’avec le Toyota 4Runner essayé antérieurement. Ce généreux VUS bleu métallique a consommé du diesel avec modération mais englouti mes sacs d’épicerie sans retenue. Aucun problème non plus pour accommoder tous mes passagers, nos bagages et des achats monstres provenant de Costco.
Le moteur fantastique a vraiment rendu l’expérience agréable à chaque jour. Évidemment, le châssis dynamique (du moins pour un utilitaire de 2332 kilos) a joué un grand rôle aussi. Idem pour la suspension indépendante sophistiquée, qui réussit à merveille à camoufler le gabarit du Touareg. Par ailleurs, dans la majorité des situations, la direction à assistance électromécanique variable selon la vitesse m’a donné l’impression que ce VUS possède autant d’agilité que son petit frère, le Tiguan.
Totalement Dominant et Indispensable
Les détracteurs du diesel font encore entendre leur voix malgré le nouveau carburant à teneur ultra faible en soufre. Je suis d’accord avec eux sur un seul point : les pompes des stations-service sont dégoûtantes! Sinon, je trouve presque ridicule l’idée d’opter pour le V6 à essence de 3,6 litres. Pourquoi pas «totalement» ridicule? Eh bien, le modèle diesel exige un supplément de 4800 $ à l’achat. Or, compte tenu qu’il consomme et pollue de 20 à 25 % moins que ledit V6, le retour sur l’investissement s’obtient assez vite.
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| Depuis 1993, la compagnie a démontré qu’elle pouvait concevoir et assembler des habitacles raffinés et pleins de style. |
Une question de conduite
Ma semaine en compagnie du Touareg TDI Comfortline 2010 s’est déroulée sans le moindre petit incident. Mieux encore, je me suis amusé, beaucoup plus en fait qu’avec le Toyota 4Runner essayé antérieurement. Ce généreux VUS bleu métallique a consommé du diesel avec modération mais englouti mes sacs d’épicerie sans retenue. Aucun problème non plus pour accommoder tous mes passagers, nos bagages et des achats monstres provenant de Costco.
Le moteur fantastique a vraiment rendu l’expérience agréable à chaque jour. Évidemment, le châssis dynamique (du moins pour un utilitaire de 2332 kilos) a joué un grand rôle aussi. Idem pour la suspension indépendante sophistiquée, qui réussit à merveille à camoufler le gabarit du Touareg. Par ailleurs, dans la majorité des situations, la direction à assistance électromécanique variable selon la vitesse m’a donné l’impression que ce VUS possède autant d’agilité que son petit frère, le Tiguan.
Totalement Dominant et Indispensable
Les détracteurs du diesel font encore entendre leur voix malgré le nouveau carburant à teneur ultra faible en soufre. Je suis d’accord avec eux sur un seul point : les pompes des stations-service sont dégoûtantes! Sinon, je trouve presque ridicule l’idée d’opter pour le V6 à essence de 3,6 litres. Pourquoi pas «totalement» ridicule? Eh bien, le modèle diesel exige un supplément de 4800 $ à l’achat. Or, compte tenu qu’il consomme et pollue de 20 à 25 % moins que ledit V6, le retour sur l’investissement s’obtient assez vite.
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| Le TDI de 3,0 litres développe un couple faramineux de 406 livres-pied pour accompagner sa modeste puissance de 225 chevaux. |