Pour quelque étrange raison, ces temps d’instabilité économique n’empêchent aucunement les fabricants automobiles de luxe de vendre tous les voitures et camions qu’ils peuvent produire. Il s’agit toujours d’une bataille ardue pour Volvo, cependant, qui ne jouit pas du même succès que BMW, Audi et Mercedes-Benz actuellement.
Blâmez cet écart sur le récent changement de propriétaire, ainsi que sur une gamme vieillissante. Une fois que Ford ait complété l’adoption de ses gadgets de sécurité et ses plateformes, la firme américaine a largué Volvo, qui a été achetée par le manufacturier chinois Geely. Et lorsque des modèles tels que les S40/V50 et XC90, qui n’ont pas changé depuis plusieurs années, on réalise que la marque suédoise a beaucoup de travail à faire.
Quand même, si la S60 annonce une indication de ce qui s’en vient, alors le futur s’annonce des plus agréables chez Volvo.
Les photos ne rendent pas justice à la voiture. Son mélange de panneaux de carrosserie sculptés et ses détails méticuleux en font une berline magnifiquement belle. La S60 a ce petit quelque chose la distinguant aux côtés des autres voitures, et cette Volvo attire pas mal d’attention, à la fois sur la route et stationnée en face de chez Auto123.com.
La S60 redessinée a été introduite pour le millésime 2011 avec une seule motorisation, on parle d’un 6-cylindres en ligne turbocompressé de 300 chevaux et d’une transmission intégrale. Pour 2012, Volvo a ajouté une autre variation, dont nous faisons l’essai cette semaine. Équipée d’un 5-cylindres turbo de 2,5 litres, la T5 à traction profite de 250 chevaux et d’un couple de 266 livres-pied. Elle adopte également la boîte automatique de la T6, à 6 rapports avec mode manuel.
Bien sûr, la T6 est peut-être plus rapide, mais la T5 n’est pas une tortue non plus. Notre temps de 6,6 secondes pour compléter le 0-100 km/h n’a rien de gênant. Dans cette application, pas de puissance violente, pas de sifflement du turbo, simplement une livraison de chevaux fluide et linéaire.
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| Les photos ne rendent pas justice à la voiture; elle est magnifiquement belle. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Blâmez cet écart sur le récent changement de propriétaire, ainsi que sur une gamme vieillissante. Une fois que Ford ait complété l’adoption de ses gadgets de sécurité et ses plateformes, la firme américaine a largué Volvo, qui a été achetée par le manufacturier chinois Geely. Et lorsque des modèles tels que les S40/V50 et XC90, qui n’ont pas changé depuis plusieurs années, on réalise que la marque suédoise a beaucoup de travail à faire.
Quand même, si la S60 annonce une indication de ce qui s’en vient, alors le futur s’annonce des plus agréables chez Volvo.
Les photos ne rendent pas justice à la voiture. Son mélange de panneaux de carrosserie sculptés et ses détails méticuleux en font une berline magnifiquement belle. La S60 a ce petit quelque chose la distinguant aux côtés des autres voitures, et cette Volvo attire pas mal d’attention, à la fois sur la route et stationnée en face de chez Auto123.com.
La S60 redessinée a été introduite pour le millésime 2011 avec une seule motorisation, on parle d’un 6-cylindres en ligne turbocompressé de 300 chevaux et d’une transmission intégrale. Pour 2012, Volvo a ajouté une autre variation, dont nous faisons l’essai cette semaine. Équipée d’un 5-cylindres turbo de 2,5 litres, la T5 à traction profite de 250 chevaux et d’un couple de 266 livres-pied. Elle adopte également la boîte automatique de la T6, à 6 rapports avec mode manuel.
Bien sûr, la T6 est peut-être plus rapide, mais la T5 n’est pas une tortue non plus. Notre temps de 6,6 secondes pour compléter le 0-100 km/h n’a rien de gênant. Dans cette application, pas de puissance violente, pas de sifflement du turbo, simplement une livraison de chevaux fluide et linéaire.
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| Pour 2012, la S60 ajoute un 5-cylindres turbo de 250 chevaux. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |