La nouvelle TSX est la première berline à être victime du langage stylistique d'Acura. Il est certain qu'on pouvait, il y a encore quelque temps, affirmer qu'Acura n'avait pas de style propre. Il faut cependant admettre que, depuis l'introduction du MDX et des derniers prototypes, la personnalité est très définie, un peu trop même. En effet, le style de la TSX s'apparente plus à une caricature de Goldorak que d'une voiture. Certain aime beaucoup, d'autres, moins.
À l'instar de la génération précédente, les TSX sont de simples Honda Accord en Europe. Bien qu'il n'y ait que la calandre qui soit différente, elle a l'avantage d'être belle. Dans l'ensemble, les lignes sont trop carrées, les roues paraissent sous-dimensionnées; on peut donc comprendre qu'Acura est en crise d'identité, mais le final est douteux.
Comme c'est le cas de toutes les Acura, l'intérieur est un exemple de style, de finition et d'ergonomie. Le riche mélange des matériaux donne une planche de bord garnie mais harmonieuse qui s'apparente à un cockpit d'avion. L'équipement est très bien et comprend, notamment, des accessoires comme la caméra de recul, la radio satellite et la navigation. La présentation est un peu déroutante au début, mais l'utilisation devient intuitive après quelques jours au volant et un peu d'« intimité » avec le guide d'utilisateur. Évidemment, étant une Acura, les finitions intérieure et extérieure sont impeccables, et il s'en dégage une forte impression de solidité.
L'accès à bord n'est pas une partie de plaisir; la ligne de toit étant relativement basse, l'espace pour la tête est restreint, et l'on peut facilement se frapper la tête sur le cadre. Les sièges n'offrent pas beaucoup de maintien pour les cuisses, ce qui rend les randonnées moins confortables. La prise en main du volant est confortable, et son design est très réussi. La position de conduite est adéquate, tout comme la suspension qui est sous le signe du confort et de la souplesse; ce qui est, somme toute, étonnant puisque Acura oriente ordinairement ses voitures sur l'esprit sportif plutôt que sur le confort.
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| La nouvelle TSX est la première berline à être victime du langage stylistique d'Acura. |
À l'instar de la génération précédente, les TSX sont de simples Honda Accord en Europe. Bien qu'il n'y ait que la calandre qui soit différente, elle a l'avantage d'être belle. Dans l'ensemble, les lignes sont trop carrées, les roues paraissent sous-dimensionnées; on peut donc comprendre qu'Acura est en crise d'identité, mais le final est douteux.
Comme c'est le cas de toutes les Acura, l'intérieur est un exemple de style, de finition et d'ergonomie. Le riche mélange des matériaux donne une planche de bord garnie mais harmonieuse qui s'apparente à un cockpit d'avion. L'équipement est très bien et comprend, notamment, des accessoires comme la caméra de recul, la radio satellite et la navigation. La présentation est un peu déroutante au début, mais l'utilisation devient intuitive après quelques jours au volant et un peu d'« intimité » avec le guide d'utilisateur. Évidemment, étant une Acura, les finitions intérieure et extérieure sont impeccables, et il s'en dégage une forte impression de solidité.
L'accès à bord n'est pas une partie de plaisir; la ligne de toit étant relativement basse, l'espace pour la tête est restreint, et l'on peut facilement se frapper la tête sur le cadre. Les sièges n'offrent pas beaucoup de maintien pour les cuisses, ce qui rend les randonnées moins confortables. La prise en main du volant est confortable, et son design est très réussi. La position de conduite est adéquate, tout comme la suspension qui est sous le signe du confort et de la souplesse; ce qui est, somme toute, étonnant puisque Acura oriente ordinairement ses voitures sur l'esprit sportif plutôt que sur le confort.
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| La prise en main du volant est confortable, et son design est très réussi. |