Avez-vous vu le film Horloge biologique ? Le passage est devenu légendaire : le père de famille, anxieux de s'acheter une nouvelle voiture, fait le compromis et se procure une fourgonnette. Mais pour contenter son imagination sportive, il choisit la version sport avec le volant gainé de cuir.
C'est exactement comme cela que je me suis senti quand j'ai pris le volant de la Honda Odyssey. Non pas que je reproche quoi que ce soit aux fourgonnettes, en général, mais disons sincèrement qu'elles sont rarement l'expression ultime du tempérament sportif. Ce que je regarde, malgré moi, je l'avoue.
Mais attention, l'habit ne fait pas toujours le moine.
Pas sportive mais...
D'entrée de jeu, ce qui frappe à la lecture de la fiche technique de la Honda Odyssey, c'est la capacité de sa motorisation. Parmi les plus puissantes de sa catégorie, elle propose un moteur V6 de 3,5 litres développant 247 chevaux.
Mais la beauté de ce moteur, ce n'est pas sa puissance maximale (qui est, somme toute, à quelques chevaux près, dans la moyenne du genre). Non, c'est plutôt le couple, abondant et disponible à bas régime. Tant et si bien que, dès qu'on agrippe le volant (oui oui, gainé de cuir) et qu'on appuie sur l'accélérateur, le véhicule se déplace avec aisance, enchaînant démarrages et reprises sans hésitation.
Ma froideur, cependant, provient surtout de la direction. Comme c'est souvent le cas des véhicules Honda, l'Odyssey profite d'une conduite fortement assistée qui limite, qui élimine, même, les sensations de conduite. Vous me direz qu'on ne conduit pas une fourgonnette pour ses impressions sportives. Mais je vous répondrai qu'il y a tout de même certaines limites à ne pas franchir.
Bons points pour la fourgonnette, la consommation excède à peine les 10 litres aux 100 kilomètres, et la suspension, tout en douceur, rend toutes les randonnées confortables, peu importe où l'on est assis dans le véhicule.
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| Année après année, elle continue de trôner en bonne position. |
C'est exactement comme cela que je me suis senti quand j'ai pris le volant de la Honda Odyssey. Non pas que je reproche quoi que ce soit aux fourgonnettes, en général, mais disons sincèrement qu'elles sont rarement l'expression ultime du tempérament sportif. Ce que je regarde, malgré moi, je l'avoue.
Mais attention, l'habit ne fait pas toujours le moine.
Pas sportive mais...
D'entrée de jeu, ce qui frappe à la lecture de la fiche technique de la Honda Odyssey, c'est la capacité de sa motorisation. Parmi les plus puissantes de sa catégorie, elle propose un moteur V6 de 3,5 litres développant 247 chevaux.
Mais la beauté de ce moteur, ce n'est pas sa puissance maximale (qui est, somme toute, à quelques chevaux près, dans la moyenne du genre). Non, c'est plutôt le couple, abondant et disponible à bas régime. Tant et si bien que, dès qu'on agrippe le volant (oui oui, gainé de cuir) et qu'on appuie sur l'accélérateur, le véhicule se déplace avec aisance, enchaînant démarrages et reprises sans hésitation.
Ma froideur, cependant, provient surtout de la direction. Comme c'est souvent le cas des véhicules Honda, l'Odyssey profite d'une conduite fortement assistée qui limite, qui élimine, même, les sensations de conduite. Vous me direz qu'on ne conduit pas une fourgonnette pour ses impressions sportives. Mais je vous répondrai qu'il y a tout de même certaines limites à ne pas franchir.
Bons points pour la fourgonnette, la consommation excède à peine les 10 litres aux 100 kilomètres, et la suspension, tout en douceur, rend toutes les randonnées confortables, peu importe où l'on est assis dans le véhicule.
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| La Honda Odyssey propose un moteur V6 de 3,5 litres développant 247 chevaux. |