La compagnie Hyundai n'a pas fini de faire parler d'elle. Après avoir chamboulé le marché des petites économiques au début des années quatre-vingt, elle a connu ses hauts et ses bas. Il y a eu des ratés, mais au moment d'écrire ces lignes, la colonne des bons coups dépasse de beaucoup celle des échecs. Au cours des récentes années, non seulement la qualité d'assemblage et la fiabilité ont progressé, mais le premier constructeur de la Corée nous a dévoilé une succession de nouveaux modèles non seulement élégants, mais capables de se défendre face à une concurrence féroce. Tant et si bien que, de nos jours, la marge qui sépare les Hyundai des meilleures japonaises s'est considérablement rétrécie.
Fort de ces succès, ses dirigeants ont rapidement compris qu'il était devenu presque obligatoire d'offrir un véhicule utilitaire sport compte tenu de l'engouement de toute l'Amérique pour les intégrales de tout acabit et de tout gabarit. En un rien de temps, le projet de la fourgonnette a été placé sur la voie d'évitement et les ingénieurs ont planché sur ce nouvel utilitaire sport. Ils ont sérieusement modifié la plate-forme de la Sonata, donné 11 chevaux de plus au moteur V6 de 2,5 litres de la Sonata dont la cylindrée a été portée à 2,7 litres. Et pour compléter cette équation, le rouage d'entraînement est une traction intégrale dont le système de répartition de couple par visco-coupleur assure une distribution de l'ordre de 60/40. Bref, on a joué la carte de la fiabilité en faisant appel à des éléments mécaniques éprouvés. Ce faisant, on a également été en mesure d'obtenir des économies de coûts. Ce qui est toujours important pour une marque dont les prix ont toujours été légèrement en deçà de la concurrence.
Fort de ces succès, ses dirigeants ont rapidement compris qu'il était devenu presque obligatoire d'offrir un véhicule utilitaire sport compte tenu de l'engouement de toute l'Amérique pour les intégrales de tout acabit et de tout gabarit. En un rien de temps, le projet de la fourgonnette a été placé sur la voie d'évitement et les ingénieurs ont planché sur ce nouvel utilitaire sport. Ils ont sérieusement modifié la plate-forme de la Sonata, donné 11 chevaux de plus au moteur V6 de 2,5 litres de la Sonata dont la cylindrée a été portée à 2,7 litres. Et pour compléter cette équation, le rouage d'entraînement est une traction intégrale dont le système de répartition de couple par visco-coupleur assure une distribution de l'ordre de 60/40. Bref, on a joué la carte de la fiabilité en faisant appel à des éléments mécaniques éprouvés. Ce faisant, on a également été en mesure d'obtenir des économies de coûts. Ce qui est toujours important pour une marque dont les prix ont toujours été légèrement en deçà de la concurrence.