Aménagement intérieur
Si vous êtes de ceux qui ne peuvent plus supporter la complexité et l'utilisation quasi impossible de certains accessoires des voitures germaniques, vous serez heureux d'apprendre que malgré la quantité incroyable de caractéristiques se trouvant à bord de la RL, tout s'effectue avec grande facilité. Le système de navigation très élaboré présente une foule de possibilités, tels la reconnaissance vocale bilingue et le repérage de nombreux commerces et points de service. Vous y trouverez également un système de téléphonie Bluetooth, une divine chaîne audio avec surround sound, un ordinateur de voyage superbement détaillé, des sièges à la fois chauffants et ventilés, et le fameux système d'accès et de démarrage sans clé. Les plus capricieux peuvent cependant se plaindre de l'absence d'un volant chauffant et de pédales à réglage électrique.
Évidemment, l'habitacle offre boiserie, cuir, chrome et aluminium brossé. Mais pour être fidèle à la réputation du constructeur, le tout est superbement agencé et s'intègre dans une finition générale exemplaire. Il est également difficile de passer sous silence le sublime éclairage d'ambiance, et particulièrement celui des cadrans indicateurs, dont le bleu crépuscule progressif est enchanteur. Malheureusement, on ne réussit toujours pas à y trouver la même richesse et la même saveur que dans l'ensemble de la concurrence allemande. Peut-être y retrouve-t-on trop de plastique, des moquettes moins onctueuses et trop peu de raffinement en matière de couleur ?
Confortablement installé derrière le volant, le conducteur ne peut qu'apprécier l'ergonomie générale, à mon avis jamais égalée par une berline à l'étiquette plus noble. La position de conduite est idéale, puisque le conducteur fait littéralement corps avec la voiture, grâce à une excellente relation entre les pédales, le volant et le levier de vitesse. Et pour ne pas déplaire à ceux qui recherchent une conduite sportive accrue, la RL possède ce qu'on appelle communément des « paddle shift », soit des palettes situées derrière le volant, servant comme dans une Formule un, à changer les rapports de transmission.
Offrant suffisamment d'espace à l'avant, cette Acura déçoit légèrement en matière d'habitabilité à l'arrière. Sans être étriquées, les places arrière n'offrent pas le dégagement auquel on pourrait s'attendre. Les personnes de grande taille sont donc gênées par un manque d'espace au niveau des jambes, et par un pavillon trop arrondi. Heureusement, la banquette bien dessinée excuse en partie le manque d'espace, et contribue au bon confort des occupants. Quant au coffre, il offre suffisamment d'espace pour accueillir quelques sacs de golf, mais la banquette arrière non rabattable réduit les possibilités lorsque vient le temps de transporter de gros objets.
Groupe motopropulseur
Même si son prix est supérieur d'environ 15 000 $ par rapport au modèle précédent, la RL continue de nous offrir un moteur V6. Est-ce décevant ? Oui et non, mais plusieurs auraient effectivement souhaités y voir l'apparition d'un V8. Enfin, c'est toujours avec un V6 d'une cylindrée de 3,5 litres que la RL nous est offerte. Plus léger grâce à l'utilisation abondante de l'aluminium, il possède aussi le système de calage variable des soupapes i-VTEC, offrant plus de puissance ainsi qu'une meilleure économie de carburant.
 |
| Photo - Antoine Joubert - Auto123.com |
 |
| Photo - Antoine Joubert - Auto123.com |
Confortablement installé derrière le volant, le conducteur ne peut qu'apprécier l'ergonomie générale, à mon avis jamais égalée par une berline à l'étiquette plus noble. La position de conduite est idéale, puisque le conducteur fait littéralement corps avec la voiture, grâce à une excellente relation entre les pédales, le volant et le levier de vitesse. Et pour ne pas déplaire à ceux qui recherchent une conduite sportive accrue, la RL possède ce qu'on appelle communément des « paddle shift », soit des palettes situées derrière le volant, servant comme dans une Formule un, à changer les rapports de transmission.
Offrant suffisamment d'espace à l'avant, cette Acura déçoit légèrement en matière d'habitabilité à l'arrière. Sans être étriquées, les places arrière n'offrent pas le dégagement auquel on pourrait s'attendre. Les personnes de grande taille sont donc gênées par un manque d'espace au niveau des jambes, et par un pavillon trop arrondi. Heureusement, la banquette bien dessinée excuse en partie le manque d'espace, et contribue au bon confort des occupants. Quant au coffre, il offre suffisamment d'espace pour accueillir quelques sacs de golf, mais la banquette arrière non rabattable réduit les possibilités lorsque vient le temps de transporter de gros objets.
Groupe motopropulseur
Même si son prix est supérieur d'environ 15 000 $ par rapport au modèle précédent, la RL continue de nous offrir un moteur V6. Est-ce décevant ? Oui et non, mais plusieurs auraient effectivement souhaités y voir l'apparition d'un V8. Enfin, c'est toujours avec un V6 d'une cylindrée de 3,5 litres que la RL nous est offerte. Plus léger grâce à l'utilisation abondante de l'aluminium, il possède aussi le système de calage variable des soupapes i-VTEC, offrant plus de puissance ainsi qu'une meilleure économie de carburant.