Même l’espace de chargement dissimule trois compartiments et est recouvert d’un tapis moelleux! Pour ce qui est de l’efficacité volumétrique et du raffinement intérieur, le ZDX est dur à battre… pourvu qu’on ne s’assoie pas en arrière.
Attention la tête
Entre l’espace de chargement étonnamment somptueux et le poste de pilotage avant-gardiste et racé se trouve la banquette arrière. Ou presque.
Les concepteurs intérieurs et extérieurs se sont sûrement obstinés sur la forme que prendrait la ligne de toit fuyante du ZDX, les uns privilégiant un look saisissant et spectaculaire, les autres l’accès aisé et le dégagement pour la tête. Ce sont les ingénieurs extérieurs qui ont gagné : la ligne de toit genre coupé se traduit directement par un accès difficile à la banquette arrière et un dégagement très limité pour la tomate.
Même pour ceux de taille moyenne, on monte à l’arrière à coup de contorsions pour éviter de simultanément accrocher le toit et le cadre de portière avec sa tête et son popotin, respectivement. Le plancher élevé et le toit bas empêchaient les passagers de réellement prendre leurs aises; toutefois, la majorité a affirmé que les sièges eux-mêmes sont confortables une fois qu’on est bien installé. Quand on parle de coupé…
Luxueux et compétent
Sur la route, les ambitions sportives du ZDX deviennent évidentes sur les surfaces raboteuses, alors que l’expérience de conduite et l’insonorisation sont orientées vers le confort sur les belles chaussées.
La direction est assez rapide et pour la plupart s’agence bien à la suspension tendue du ZDX, mais la surprise nous attend parfois à la suite de manœuvres à haute vitesse. Globalement, toutefois, le ZDX tire profit de sa grande voie et sa vive tenue de route, plus que son style laisse croire.
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| Pour ce qui est de l’efficacité volumétrique et du raffinement intérieur, le ZDX est dur à battre… pourvu qu’on ne s’assoie pas en arrière. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Attention la tête
Entre l’espace de chargement étonnamment somptueux et le poste de pilotage avant-gardiste et racé se trouve la banquette arrière. Ou presque.
Les concepteurs intérieurs et extérieurs se sont sûrement obstinés sur la forme que prendrait la ligne de toit fuyante du ZDX, les uns privilégiant un look saisissant et spectaculaire, les autres l’accès aisé et le dégagement pour la tête. Ce sont les ingénieurs extérieurs qui ont gagné : la ligne de toit genre coupé se traduit directement par un accès difficile à la banquette arrière et un dégagement très limité pour la tomate.
Même pour ceux de taille moyenne, on monte à l’arrière à coup de contorsions pour éviter de simultanément accrocher le toit et le cadre de portière avec sa tête et son popotin, respectivement. Le plancher élevé et le toit bas empêchaient les passagers de réellement prendre leurs aises; toutefois, la majorité a affirmé que les sièges eux-mêmes sont confortables une fois qu’on est bien installé. Quand on parle de coupé…
Luxueux et compétent
Sur la route, les ambitions sportives du ZDX deviennent évidentes sur les surfaces raboteuses, alors que l’expérience de conduite et l’insonorisation sont orientées vers le confort sur les belles chaussées.
La direction est assez rapide et pour la plupart s’agence bien à la suspension tendue du ZDX, mais la surprise nous attend parfois à la suite de manœuvres à haute vitesse. Globalement, toutefois, le ZDX tire profit de sa grande voie et sa vive tenue de route, plus que son style laisse croire.
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| L'Acura ZDX n’est vraiment pas l’utilitaire familial à cinq portes et cinq places typique. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |