Un cockpit à la BMW
On se glisse aisément au volant de la 128i. Le tableau de bord conserve ses airs de famille : sombre, mais comportant des cadrans à fond noir et à chiffres blancs, idéal pour une consultation précise. Ce sont les coloris des sièges et des portières qui m'ont attiré le plus : un rouge riche, bien stylisé, avec des touches de noir. Les sièges avant enveloppent bien leur occupant, et ce, quel que soit leur gabarit. Le pilier avant gêne un peu la visibilité latérale avant, mais on ne souffre pas d'angle mort latéral.
Au chapitre du rangement, on repassera. Il est minimaliste, bon pour des cartes routières et quelques objets comme le téléphone et le baladeur iPod. Ma seule critique, comme pilote, et elle a été partagée, c'est le coffret central : si vous avez un petit gabarit, il est possible que vous vous y accrochiez le coude droit quand vous passerez du premier au deuxième rapport. Pour les pilotes au torse long, pas de problème.
Une 2+2
L'accès arrière demande un peu d'acrobatie. Si les sièges sont confortables, l'espace se limite à accueillir de jeunes enfants ou des adultes pour un petit trajet. BMW ne s'en cache pas. La firme est consciente de l'étroitesse des places arrière. Par contre, le coffre propose des dimensions convenables pour les grosses courses ou une semaine de vacances en duo. Vous profiterez également d'une trappe à skis.
La climatisation et la chaîne audio sont à la hauteur de la notoriété de la marque : efficace et de bonne qualité. Les commandes demandent toujours une période d'apprentissage avant de pouvoir les utiliser convenablement.
Homogénéité mécanique
Les 6-cylindres de 3 litres accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports constituent un excellent choix. Rapide et souple, cet ensemble démontre le savoir-faire de la firme bavaroise. On n'a rien inventé ici; on a seulement tiré le meilleur des éléments existants. Les 230 chevaux suffiront pleinement à vous tirer d'impasse et à effectuer des dépassements (0 à 100 km/h sous les 7 secondes). La boîte automatique à 5 rapports tire très bien son épingle du jeu, qu'on soit en mode manuel ou automatique : l'effet de couple du moteur facilite ici le passage des rapports. Sa consommation nous a semblé très raisonnable pour un 3-litres de cette puissance : entre 11 et 12 litres aux 100 kilomètres. On fera mieux en conduite plus sage.
On se glisse aisément au volant de la 128i. Le tableau de bord conserve ses airs de famille : sombre, mais comportant des cadrans à fond noir et à chiffres blancs, idéal pour une consultation précise. Ce sont les coloris des sièges et des portières qui m'ont attiré le plus : un rouge riche, bien stylisé, avec des touches de noir. Les sièges avant enveloppent bien leur occupant, et ce, quel que soit leur gabarit. Le pilier avant gêne un peu la visibilité latérale avant, mais on ne souffre pas d'angle mort latéral.
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| Les sièges offrent un bon confort et un maintien très apprécié. |
Au chapitre du rangement, on repassera. Il est minimaliste, bon pour des cartes routières et quelques objets comme le téléphone et le baladeur iPod. Ma seule critique, comme pilote, et elle a été partagée, c'est le coffret central : si vous avez un petit gabarit, il est possible que vous vous y accrochiez le coude droit quand vous passerez du premier au deuxième rapport. Pour les pilotes au torse long, pas de problème.
Une 2+2
L'accès arrière demande un peu d'acrobatie. Si les sièges sont confortables, l'espace se limite à accueillir de jeunes enfants ou des adultes pour un petit trajet. BMW ne s'en cache pas. La firme est consciente de l'étroitesse des places arrière. Par contre, le coffre propose des dimensions convenables pour les grosses courses ou une semaine de vacances en duo. Vous profiterez également d'une trappe à skis.
La climatisation et la chaîne audio sont à la hauteur de la notoriété de la marque : efficace et de bonne qualité. Les commandes demandent toujours une période d'apprentissage avant de pouvoir les utiliser convenablement.
Homogénéité mécanique
Les 6-cylindres de 3 litres accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports constituent un excellent choix. Rapide et souple, cet ensemble démontre le savoir-faire de la firme bavaroise. On n'a rien inventé ici; on a seulement tiré le meilleur des éléments existants. Les 230 chevaux suffiront pleinement à vous tirer d'impasse et à effectuer des dépassements (0 à 100 km/h sous les 7 secondes). La boîte automatique à 5 rapports tire très bien son épingle du jeu, qu'on soit en mode manuel ou automatique : l'effet de couple du moteur facilite ici le passage des rapports. Sa consommation nous a semblé très raisonnable pour un 3-litres de cette puissance : entre 11 et 12 litres aux 100 kilomètres. On fera mieux en conduite plus sage.
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| Que vous optiez pour la boîte manuelle ou automatique, vous ne serez pas déçus. |