L'état de grâce!
Je nageais déjà dans une douce béatitude avant même que le moteur tourne, et lorsque ça se produit, on assiste à l'apothéose. Le V8 bi-turbo de 4.4 litres représente la pièce maîtresse de la 550i. Les deux turbos sagement insérés dans le V des cylindres permettent un volume relativement compact du moteur, et surtout une puissance de 400ch. Le moindre effleurement de l'accélérateur réveille la bête pour une accélération en 5,3 secondes pour le 0-100km/h. Remercions le couple de 450 lb-pi disponible à un régime aussi bas que 1 750 tr-min.
Alors que je m'attendais à rendre les pétrolières heureuses devant ces performances, je fus plus que surpris d'observer une consommation combinée de 9,8 L/100km. En fouillant un peu plus, je me suis rappelé de l'injection directe et l'imperceptible transmission automatique à huit rapports, qui en plus de limiter les bruits, réduit aussi la consommation d'essence. L'ajustement de la direction est simplement chirurgical.
Les ingénieurs ont pris tout ce qui a fait la réputation de BMW et l’ont optimisé de façon exponentielle. L'agrément de conduite reste indéniable tout comme le comportement routier auquel on ne peut adresser aucun reproche.
Conclusion
La nouvelle Série 5 2011 m'a franchement impressionné. Il est assez rare que j’affirme qu'une voiture de plus de 73 000 $ les vaut, toutefois dans ce cas, chaque dollar investi vous donne une ristourne en qualité et en plaisir incroyable. Je ne pensais jamais dire ça un jour, mais je crois bien que BMW a créé une voiture que je ne peux pas critiquer!
Je nageais déjà dans une douce béatitude avant même que le moteur tourne, et lorsque ça se produit, on assiste à l'apothéose. Le V8 bi-turbo de 4.4 litres représente la pièce maîtresse de la 550i. Les deux turbos sagement insérés dans le V des cylindres permettent un volume relativement compact du moteur, et surtout une puissance de 400ch. Le moindre effleurement de l'accélérateur réveille la bête pour une accélération en 5,3 secondes pour le 0-100km/h. Remercions le couple de 450 lb-pi disponible à un régime aussi bas que 1 750 tr-min.
Alors que je m'attendais à rendre les pétrolières heureuses devant ces performances, je fus plus que surpris d'observer une consommation combinée de 9,8 L/100km. En fouillant un peu plus, je me suis rappelé de l'injection directe et l'imperceptible transmission automatique à huit rapports, qui en plus de limiter les bruits, réduit aussi la consommation d'essence. L'ajustement de la direction est simplement chirurgical.
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| Depuis toujours la Série 5 se démarque comme une berline aux allures sportives. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Les ingénieurs ont pris tout ce qui a fait la réputation de BMW et l’ont optimisé de façon exponentielle. L'agrément de conduite reste indéniable tout comme le comportement routier auquel on ne peut adresser aucun reproche.
Conclusion
La nouvelle Série 5 2011 m'a franchement impressionné. Il est assez rare que j’affirme qu'une voiture de plus de 73 000 $ les vaut, toutefois dans ce cas, chaque dollar investi vous donne une ristourne en qualité et en plaisir incroyable. Je ne pensais jamais dire ça un jour, mais je crois bien que BMW a créé une voiture que je ne peux pas critiquer!
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