Comme dans une Toyota Prius, l’état du fonctionnement du groupe motopropulseur peut être affiché au tableau de bord. Il apparaît sur un petit écran à droite de celui du système de navigation. Malheureusement, ces informations sont difficiles à consulter sans quitter la route du regard. Pour plus d’efficacité, l’essentiel de ces informations pourraient d’ailleurs s’afficher sur le pare-brise, à l’aide du projecteur « tête-haute ».
Pour le reste, ce modèle hybride partage les roues en alliage du X6 xDrive50i : soit celles de 19 pouces, de série, ou ces autres de 20 pouces à l’allure aérodynamique, qui figurent au catalogue d’options (qui peut voir sur les photos).
Les stratèges de BMW ont aussi profité du lancement du X6 hybride pour offrir une nouvelle couleur : Bluewater métallisé, un bleu léger qui s’assimile au gris sous certains éclairages. D’ailleurs, tous les X6 ActiveHybrid réunis à Bal Harbour pour cette présentation étaient de cette couleur.
Équipé à la mesure du statut
Le X6 ActiveHybrid reçoit une dotation à la mesure de son prix élevé, qu’on estime à l’égal de celui d’un X6 M (autour de 100 000 $). Son équipement de série compte, entre autres, un hayon à ouverture électrique, une superbe sellerie de cuir « nappa » de couleurs exclusives ivoire et noir (avec double couture rabattue bleue), un toit ouvrant coulissant en verre et un dispositif d’attelage (d’une capacité maximale de 750 kilos).
Il faut ajouter à cela des sièges moulants (un peu mous à mon goût), une climatisation bizone automatique, le système de navigation et un détecteur d’obstacles.
Ce BMW bénéficie aussi d’une batterie de sacs et de rideaux gonflables, des appuie-têtes actifs à l’avant, des pneus à roulage à plat. Les puissants phares bi-xénon, qui procurent un éclairage puissant, peuvent être munis d’une fonction de projection directionnelle avec éclairage d’angle. Superbe!
Agile sur la route... comme un X6!
Sur la route, le X6 hybride n’offre pas beaucoup de surprise, si ce n’est ces brefs moments où, lorsqu’on ralentit, le moteur thermique s’arrête et laisse subitement le véhicule en roue libre.
Le roulement doux s’apparente à celui d’une grande berline, malgré une garde au sol plus généreuse. Le rayon braquage réduit facilite, par ailleurs, les manoeuvres dans les espaces étroits.
Pour garer ce véhicule, que l’esthétique favorise davantage que la surface vitrée, un système à triples caméras (deux sous les rétroviseurs extérieurs et une à droite de la plaque d’immatriculation arrière) compense un peu le champ de vision arrière réduit.
Par ailleurs, l’essai effectué en Floride, sur des tronçons d’autoroutes ayant peu de dénivellations et des quartiers résidentiels et commerciaux, ne nous a pas permis d’apprécier pleinement les qualités dynamiques du châssis et la puissance du groupe motopropulseur. Nous nous sommes donc contentés de conduire cet élégant X6 comme le font tous ces Floridiens propriétaires de rutilantes Lamborghini, Bentley et autres voitures exotiques, ou de ces Hummer juchés sur d’imposantes roues chromées : en paradant!
En quadrillant cet environnement urbain sur près de 500 kilomètres, en revanche, nous avons au moins réussi à faire apparaître, sur l’ordinateur de bord, une cote moyenne de consommation d’environ 11 litres aux 100 kilomètres. Pas très scientifique, j’en conviens. N’empêche que ce chiffre, plus proche de la réalité que les cotes « officielles », tant européennes que canadiennes, consacre la réussite du constructeur de Munich.
Assemblé à l’usine BMW de Spartanburg, en Caroline du Sud, le X6 ActiveHybrid 2010 fera son entrée chez les concessionnaires canadiens de la marque en décembre prochain.
photo:Alberto Martinez, Luc Gagné et BMW Group
Pour le reste, ce modèle hybride partage les roues en alliage du X6 xDrive50i : soit celles de 19 pouces, de série, ou ces autres de 20 pouces à l’allure aérodynamique, qui figurent au catalogue d’options (qui peut voir sur les photos).
Les stratèges de BMW ont aussi profité du lancement du X6 hybride pour offrir une nouvelle couleur : Bluewater métallisé, un bleu léger qui s’assimile au gris sous certains éclairages. D’ailleurs, tous les X6 ActiveHybrid réunis à Bal Harbour pour cette présentation étaient de cette couleur.
Équipé à la mesure du statut
Le X6 ActiveHybrid reçoit une dotation à la mesure de son prix élevé, qu’on estime à l’égal de celui d’un X6 M (autour de 100 000 $). Son équipement de série compte, entre autres, un hayon à ouverture électrique, une superbe sellerie de cuir « nappa » de couleurs exclusives ivoire et noir (avec double couture rabattue bleue), un toit ouvrant coulissant en verre et un dispositif d’attelage (d’une capacité maximale de 750 kilos).
Il faut ajouter à cela des sièges moulants (un peu mous à mon goût), une climatisation bizone automatique, le système de navigation et un détecteur d’obstacles.
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| Pour pallier le manque de visibilité vers l’arrière, lorsqu’on enclenche la marche arrière, les images captées par trois caméras s’affichent de façon originale sur l’écran central du tableau de bord. |
Ce BMW bénéficie aussi d’une batterie de sacs et de rideaux gonflables, des appuie-têtes actifs à l’avant, des pneus à roulage à plat. Les puissants phares bi-xénon, qui procurent un éclairage puissant, peuvent être munis d’une fonction de projection directionnelle avec éclairage d’angle. Superbe!
Agile sur la route... comme un X6!
Sur la route, le X6 hybride n’offre pas beaucoup de surprise, si ce n’est ces brefs moments où, lorsqu’on ralentit, le moteur thermique s’arrête et laisse subitement le véhicule en roue libre.
Le roulement doux s’apparente à celui d’une grande berline, malgré une garde au sol plus généreuse. Le rayon braquage réduit facilite, par ailleurs, les manoeuvres dans les espaces étroits.
Pour garer ce véhicule, que l’esthétique favorise davantage que la surface vitrée, un système à triples caméras (deux sous les rétroviseurs extérieurs et une à droite de la plaque d’immatriculation arrière) compense un peu le champ de vision arrière réduit.
Par ailleurs, l’essai effectué en Floride, sur des tronçons d’autoroutes ayant peu de dénivellations et des quartiers résidentiels et commerciaux, ne nous a pas permis d’apprécier pleinement les qualités dynamiques du châssis et la puissance du groupe motopropulseur. Nous nous sommes donc contentés de conduire cet élégant X6 comme le font tous ces Floridiens propriétaires de rutilantes Lamborghini, Bentley et autres voitures exotiques, ou de ces Hummer juchés sur d’imposantes roues chromées : en paradant!
En quadrillant cet environnement urbain sur près de 500 kilomètres, en revanche, nous avons au moins réussi à faire apparaître, sur l’ordinateur de bord, une cote moyenne de consommation d’environ 11 litres aux 100 kilomètres. Pas très scientifique, j’en conviens. N’empêche que ce chiffre, plus proche de la réalité que les cotes « officielles », tant européennes que canadiennes, consacre la réussite du constructeur de Munich.
Assemblé à l’usine BMW de Spartanburg, en Caroline du Sud, le X6 ActiveHybrid 2010 fera son entrée chez les concessionnaires canadiens de la marque en décembre prochain.
photo:Alberto Martinez, Luc Gagné et BMW Group
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