D'après GMM
Stefano Domenicali presse Pirelli d'améliorer la longévité de ses pneus 2011.
Malgré ses dernières déclarations de soutien au manufacturier italien, le directeur de Ferrari réitère ses inquiétudes avec les nombreux arrêts prévus pour chaque pilote.
Il explique à La Gazzetta dello Sport : « Lors de notre première simulation de course à Barcelone, nous nous sommes arrêtés quatre fois pour avoir le meilleur rythme possible. Dimanche (à Melbourne) il va y avoir au moins trois arrêts, car lorsque les performances chutent on ne peut pas laisser un pilote sur la piste avec un rythme plus faible ».
L'Italien recommande à Pirelli de développer encore son produit 2011.
Le patron de la Scuderia ajoute : « Nous avons suggéré que les pneus se dégradent plus vite par rapport à 2010, car avec Bridgestone on pouvait pratiquement couvrir tout le grand prix sans s'arrêter. Mais imaginez la course ici avec tout ce trafic dans les puits, 72 arrêts en 58 tours... ça m'inquiète ».
Les inquiétudes ont grandi à Melbourne vendredi lorsque Sebastian Vettel est revenu avec des pneus très endommagés, mais Christian Horner a expliqué que l'Allemand avait roulé sur des débris.
Le pilote Toro Rosso, Jaime Alguersuari, insiste que personne ne devrait « avoir peur » avec Pirelli.
Il affirme au quotidien Marca : « Il y a beaucoup d'incertitudes et d'inconnu, mais c'est pareil pour tout le monde ».
Jaime Alguersuari ajoute que « chaque fois que l'on est sur la piste on comprend mieux comment ils fonctionnent. Quelques fois c'est mieux que ce que l'on espérait, mais au fur et à mesure nous, les pilotes et les équipes, nous habituons à savoir comment mieux ajuster la voiture ».
Stefano Domenicali presse Pirelli d'améliorer la longévité de ses pneus 2011.
Malgré ses dernières déclarations de soutien au manufacturier italien, le directeur de Ferrari réitère ses inquiétudes avec les nombreux arrêts prévus pour chaque pilote.
Il explique à La Gazzetta dello Sport : « Lors de notre première simulation de course à Barcelone, nous nous sommes arrêtés quatre fois pour avoir le meilleur rythme possible. Dimanche (à Melbourne) il va y avoir au moins trois arrêts, car lorsque les performances chutent on ne peut pas laisser un pilote sur la piste avec un rythme plus faible ».
L'Italien recommande à Pirelli de développer encore son produit 2011.
Le patron de la Scuderia ajoute : « Nous avons suggéré que les pneus se dégradent plus vite par rapport à 2010, car avec Bridgestone on pouvait pratiquement couvrir tout le grand prix sans s'arrêter. Mais imaginez la course ici avec tout ce trafic dans les puits, 72 arrêts en 58 tours... ça m'inquiète ».
Les inquiétudes ont grandi à Melbourne vendredi lorsque Sebastian Vettel est revenu avec des pneus très endommagés, mais Christian Horner a expliqué que l'Allemand avait roulé sur des débris.
Le pilote Toro Rosso, Jaime Alguersuari, insiste que personne ne devrait « avoir peur » avec Pirelli.
Il affirme au quotidien Marca : « Il y a beaucoup d'incertitudes et d'inconnu, mais c'est pareil pour tout le monde ».
Jaime Alguersuari ajoute que « chaque fois que l'on est sur la piste on comprend mieux comment ils fonctionnent. Quelques fois c'est mieux que ce que l'on espérait, mais au fur et à mesure nous, les pilotes et les équipes, nous habituons à savoir comment mieux ajuster la voiture ».