D'après GMM
Le président de la FIA Max Mosley a dit considérer ouvrir un fond légal pour aider les gens qui voient leur vie privée ruinée par les médias à scandales.
L'homme de 68 ans a gagné cette semaine sa poursuite contre la publication News of the World qui avait révélé sa vie sexuelle au monde entier.
S'adressant à la presse pour la première fois depuis sa victoire en cour supérieure, Mosley a déclaré au Sunday Telegraph qu'il avait l'intention d'intenter des poursuites contre d'autres médias un peu partout en Europe, spécialement en France, en Allemagne et en Italie.
« Je suis persuadé que certains médias ruinent littéralement et délibérément la vie de certaines personnes. Il faut que quelqu'un arrête ça », a dit Mosley.
Aussi, Mosley a tenu à préciser que les événements divulgués par News of the World n'ont pas ruiné sa vie familiale.
« Ma femme et moi avons été ensemble durant les 50 dernières années et ça ne changera pas », a-t-il conclu.
En attendant, Max Mosley garde l'esprit ouvert à savoir si ses « ennemis » de la F1 auraient pu participer à toute cette histoire.
Le président de la FIA Max Mosley a dit considérer ouvrir un fond légal pour aider les gens qui voient leur vie privée ruinée par les médias à scandales.
L'homme de 68 ans a gagné cette semaine sa poursuite contre la publication News of the World qui avait révélé sa vie sexuelle au monde entier.
S'adressant à la presse pour la première fois depuis sa victoire en cour supérieure, Mosley a déclaré au Sunday Telegraph qu'il avait l'intention d'intenter des poursuites contre d'autres médias un peu partout en Europe, spécialement en France, en Allemagne et en Italie.
« Je suis persuadé que certains médias ruinent littéralement et délibérément la vie de certaines personnes. Il faut que quelqu'un arrête ça », a dit Mosley.
Aussi, Mosley a tenu à préciser que les événements divulgués par News of the World n'ont pas ruiné sa vie familiale.
« Ma femme et moi avons été ensemble durant les 50 dernières années et ça ne changera pas », a-t-il conclu.
En attendant, Max Mosley garde l'esprit ouvert à savoir si ses « ennemis » de la F1 auraient pu participer à toute cette histoire.