Débarquez de l’asphalte, et le Wrangler tombe dans son élément. Avec des angles d’attaque et de sortie de 44,4 et de 40,5 degrés, mieux que n’importe quel autre 4x4 incluant le rival Toyota FJ Cruiser, grimper des pentes abruptes et en redescendre équivaut à un jeu d’enfant. Les essieux avant et arrière assurent qu’il y a toujours une roue qui touche le sol. En gamme basse, le Wrangler est musclé, mais la sensibilité de son accélérateur s’avère parfaite pour avancer à pas de tortue au-dessus des roches, des billots de bois et des carcasses de voitures abandonnées.
Le Rubicon est particulièrement habile dans ces situations, puisqu’il s’équipe de caractéristiques exclusives telles que : pneus hors route de 32 pouces; barre antiroulis avant à déconnexion électronique pour améliorer l’articulation des roues avant; boîtier de transfert à deux vitesses Rock-Trac; et différentiels à verrouillage électronique avant et arrière. En somme, il faut être vraiment nul pour rester pris.
Je suis resté pris.
Première leçon : ne jamais aller hors route avec un seul véhicule. J’ai été averti par un expert des balades hors route, et ma tête de mule m’a fait ignorer cet important conseil.
Deuxième leçon : toujours apporter un treuil. Je n’en avais pas, parce que ma stupidité mentionnée plus tôt m’a fait croire que je n’en avais pas besoin.
Troisième leçon : ne jamais aller faire du hors route en gougounes. J’ai beaucoup appris cette journée-là.
En principe, je descendais un sentier qui avait de profondes ornières. J’ai tenté de les éviter, mais le sol à certains endroits était à l’ombre et boueux, et le Wrangler a glissé dans les ornières. Le soubassement du Jeep, incluant la barre antiroulis avant, frottait au sol. Le Wrangler avait les quatre roues prises dans la boue et n’avançait plus, me regardant avec une expression qui voulait dire : « Bravo champion! Regarde ce que tu m’as fait faire! »
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| Grimper des pentes abruptes et en redescendre équivaut à un jeu d’enfant. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Le Rubicon est particulièrement habile dans ces situations, puisqu’il s’équipe de caractéristiques exclusives telles que : pneus hors route de 32 pouces; barre antiroulis avant à déconnexion électronique pour améliorer l’articulation des roues avant; boîtier de transfert à deux vitesses Rock-Trac; et différentiels à verrouillage électronique avant et arrière. En somme, il faut être vraiment nul pour rester pris.
Je suis resté pris.
Première leçon : ne jamais aller hors route avec un seul véhicule. J’ai été averti par un expert des balades hors route, et ma tête de mule m’a fait ignorer cet important conseil.
Deuxième leçon : toujours apporter un treuil. Je n’en avais pas, parce que ma stupidité mentionnée plus tôt m’a fait croire que je n’en avais pas besoin.
Troisième leçon : ne jamais aller faire du hors route en gougounes. J’ai beaucoup appris cette journée-là.
En principe, je descendais un sentier qui avait de profondes ornières. J’ai tenté de les éviter, mais le sol à certains endroits était à l’ombre et boueux, et le Wrangler a glissé dans les ornières. Le soubassement du Jeep, incluant la barre antiroulis avant, frottait au sol. Le Wrangler avait les quatre roues prises dans la boue et n’avançait plus, me regardant avec une expression qui voulait dire : « Bravo champion! Regarde ce que tu m’as fait faire! »
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| Le soubassement du Jeep, incluant la barre antiroulis avant, frottait au sol. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |