Une conduite à évoquer de vieux souvenirs
La tenue de route nous rend nostalgiques des camionnettes d'antan. Sur des surfaces accidentées, la suspension montre sa rigidité, et le roulement est très sautillant. Les amateurs de camionnettes ne s'en plaindront pas trop; toutefois, ceux qui auront essayé une Ridgeline verront tout de suite une grosse différence. La Frontier de Nissan porte dur aussi, mais elle est moins désagréable que la B4000.
La direction est quand même communicative, et les freins sont efficaces. La Série B 4 x 4 est pourvue d'un boîtier de transfert contrôlé grâce à une commande sur la console : on a donc droit à une gamme basse pour dévaler des sentiers dans le bois ou arracher des troncs d'arbre pour, euh, s'amuser.
L'habitacle : c'est petit
En prenant place dans la camionnette, on constate rapidement qu'il s'agit d'un design d'une époque révolue. L'ajustement des pièces du tableau est assez médiocre, et son apparence rappelle l'habitacle des véhicules Ford de la fin des années 80. La visibilité est bonne, notamment parce que les piliers sont minces.
Les sièges procurent un degré de confort appréciable, malgré leur manque de réglages, et le tissu qui les garnit semble robuste. Il n'y a pas de banquette arrière : on n'y trouve que de vulgaires strapontins qui se font face. Je ne croyais plus que cela existait encore en 2007. À déconseiller à ceux qui ont fréquemment le mal des transports...
Un siège d'appoint pour un enfant ne peut prendre place sur les strapontins; on doit alors l'installer sur le siège du passager avant. Le coussin gonflable se désactive automatiquement, mais quand même, votre jeune progéniture devrait normalement s'asseoir à l'arrière.
La caisse mesure 1 824 millimètres de longueur, ce qui se compare plus ou moins avec la concurrence à cabine allongée. Par contre, la plupart des VTT sont trop longs pour la caisse : vous devrez vous procurer une rallonge dans le catalogue des accessoires du concessionnaire.
La tenue de route nous rend nostalgiques des camionnettes d'antan. Sur des surfaces accidentées, la suspension montre sa rigidité, et le roulement est très sautillant. Les amateurs de camionnettes ne s'en plaindront pas trop; toutefois, ceux qui auront essayé une Ridgeline verront tout de suite une grosse différence. La Frontier de Nissan porte dur aussi, mais elle est moins désagréable que la B4000.
La direction est quand même communicative, et les freins sont efficaces. La Série B 4 x 4 est pourvue d'un boîtier de transfert contrôlé grâce à une commande sur la console : on a donc droit à une gamme basse pour dévaler des sentiers dans le bois ou arracher des troncs d'arbre pour, euh, s'amuser.
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| L'étroit habitacle propose de désuets strapontins pour les passagers arrière. |
L'habitacle : c'est petit
En prenant place dans la camionnette, on constate rapidement qu'il s'agit d'un design d'une époque révolue. L'ajustement des pièces du tableau est assez médiocre, et son apparence rappelle l'habitacle des véhicules Ford de la fin des années 80. La visibilité est bonne, notamment parce que les piliers sont minces.
Les sièges procurent un degré de confort appréciable, malgré leur manque de réglages, et le tissu qui les garnit semble robuste. Il n'y a pas de banquette arrière : on n'y trouve que de vulgaires strapontins qui se font face. Je ne croyais plus que cela existait encore en 2007. À déconseiller à ceux qui ont fréquemment le mal des transports...
Un siège d'appoint pour un enfant ne peut prendre place sur les strapontins; on doit alors l'installer sur le siège du passager avant. Le coussin gonflable se désactive automatiquement, mais quand même, votre jeune progéniture devrait normalement s'asseoir à l'arrière.
La caisse mesure 1 824 millimètres de longueur, ce qui se compare plus ou moins avec la concurrence à cabine allongée. Par contre, la plupart des VTT sont trop longs pour la caisse : vous devrez vous procurer une rallonge dans le catalogue des accessoires du concessionnaire.
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| La Série B, une jeunesse de 14 ans, est encore dans le coup. |