À l'intérieur, l'habitacle du Triton est moderne, voire futuriste. En fait, nous avons répété ces propos sur plusieurs véhicules présents cette journée-là.
Le tableau de bord dispose du même affichage « couvert » placé au centre que l'on retrouve dans plusieurs Mitsubishi nord-américains (Galant, Endeavor) ainsi qu'un écran numérique bleu, également similaire. Les matériaux du tableau de bord étaient rigides, toutefois, et moi et mon partenaire de conduite avons tous deux commenté sur une certaine vibration.
Les sièges étaient confortables, et sont pleinement ajustables. La lunette arrière s'abaisse--une belle caractéristique pour un camion dans ce segment.
La visibilité était bonne, malgré que la vue arrière soit vraiment réduite par les sièges arrière et leurs appuie-tête.
J'ai trouvé que la direction demandait trop d'effort--j'entrecroisais constamment mes mains pour compléter un virage à gauche. De plus, la direction semblait imprécise, trop légère et déconnecté.
Sous le capot résidait un moteur V6 à SACT diesel, qui était silencieux et parfait pour la conduite urbaine, mais il manquait de puissance sur l'autoroute. Nous avons tous deux opté pour désactiver la surmultiplication afin d'avoir un peu plus de muscle pour dépasser.
Notre véhicule d'essai disposait d'un système à quatre roues motrices avec une gamme basse, quoique nous n'ayons pas eu la chance de l'essayer. La structure de la camionnette est rigide, comptant sur un châssis à cadre fermé hydroformé, une suspension indépendante à l'avant ainsi qu'un essieu rigide à l'arrière.
La voiture i
C'est un jeu de mots, qui fait référence au mot 'amour' en japonais, la prononciation « i » décrivant son propriétaire. La voiture i a été lancée en 2006 après avoir fait ses débuts comme concept au salon de Francfort en 2003. Son allure innovatrice a immédiatement fait fureur au Japon ainsi qu'au Royaume-Uni où la diffusion en quantité limitée a rapidement trouvé preneur.
Le moteur turbocompressé de 660cc, développant 57 chevaux, est situé derrière les passagers : question sécurité, mais aussi pour faire place à un habitacle spacieux sans devoir augmenter les dimensions du véhicule.
Mon partenaire de conduite et moi avons aimé le look du i, et nous n'étions pas les seuls : le temps d'attente pour l'essayer était le plus long de tous les véhicules cette journée-là. La forme d'un oeuf, avec un visage plat--elle me fait penser à un croisement entre une smart fortwo et une Toyota Yaris.
Le tableau de bord dispose du même affichage « couvert » placé au centre que l'on retrouve dans plusieurs Mitsubishi nord-américains (Galant, Endeavor) ainsi qu'un écran numérique bleu, également similaire. Les matériaux du tableau de bord étaient rigides, toutefois, et moi et mon partenaire de conduite avons tous deux commenté sur une certaine vibration.
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Les sièges étaient confortables, et sont pleinement ajustables. La lunette arrière s'abaisse--une belle caractéristique pour un camion dans ce segment.
La visibilité était bonne, malgré que la vue arrière soit vraiment réduite par les sièges arrière et leurs appuie-tête.
J'ai trouvé que la direction demandait trop d'effort--j'entrecroisais constamment mes mains pour compléter un virage à gauche. De plus, la direction semblait imprécise, trop légère et déconnecté.
Sous le capot résidait un moteur V6 à SACT diesel, qui était silencieux et parfait pour la conduite urbaine, mais il manquait de puissance sur l'autoroute. Nous avons tous deux opté pour désactiver la surmultiplication afin d'avoir un peu plus de muscle pour dépasser.
Notre véhicule d'essai disposait d'un système à quatre roues motrices avec une gamme basse, quoique nous n'ayons pas eu la chance de l'essayer. La structure de la camionnette est rigide, comptant sur un châssis à cadre fermé hydroformé, une suspension indépendante à l'avant ainsi qu'un essieu rigide à l'arrière.
La voiture i
C'est un jeu de mots, qui fait référence au mot 'amour' en japonais, la prononciation « i » décrivant son propriétaire. La voiture i a été lancée en 2006 après avoir fait ses débuts comme concept au salon de Francfort en 2003. Son allure innovatrice a immédiatement fait fureur au Japon ainsi qu'au Royaume-Uni où la diffusion en quantité limitée a rapidement trouvé preneur.
Le moteur turbocompressé de 660cc, développant 57 chevaux, est situé derrière les passagers : question sécurité, mais aussi pour faire place à un habitacle spacieux sans devoir augmenter les dimensions du véhicule.
Mon partenaire de conduite et moi avons aimé le look du i, et nous n'étions pas les seuls : le temps d'attente pour l'essayer était le plus long de tous les véhicules cette journée-là. La forme d'un oeuf, avec un visage plat--elle me fait penser à un croisement entre une smart fortwo et une Toyota Yaris.
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