La colonne de direction dispose de palettes qui ne se règlent qu’en hauteur. Par ailleurs, j’ai eu toute la misère du monde à trouver une position confortable. Ma Ralliart était munie de l’ensemble « Premium » incluant une poignée de commodités tels un toit vitré électrique, un frein à main gainé de cuir et des baquets sport Recaro à quatre réglages garnis de cuir et de suède.
Sublimes, ces sièges offrent un excellent soutien en piste, par contre ne conviennent pas à un usage quotidien. Quelqu’un ayant des épaules plus larges que les miennes s’y sentirait sûrement mieux. Le groupe Premium coûte 4 200 $.
Il comprend, outre les raffinements mentionnés ci-dessus, une prestigieuse chaîne Rockford-Fosgate de 710 watts dotée de 9 haut-parleurs, un caisson de basses de 10 pouces dans le coffre, un processeur de son adapté à la vitesse ainsi qu’un lecteur 6 CD et MP3. Si, comme moi, vous appréciez une bonne expérience sonore, cette chaîne compensera peut-être l’inconfort des sièges.
Or, on n’achète pas cette Lancer pour ses baquets ni sa salle de concert.
Non, on achète cette Lancer Ralliart pour sa tenue de route et ses performances!
Un moteur turbo de 2,0 litres à 16 soupapes crache 237 ch à 6 000 tours et 253 pi-lb de couple. On l’a jumelé à la boîte Sportronic à six rapports et à double embrayage de Mitsubishi.
Il s’agit d’une automatique qui se comporte à la base comme une manuelle, mais où le conducteur n’a pas à se servir de l’embrayage. La boîte choisit deux rapports à la fois : le premier est engagé par un des deux embrayages multidisques, tandis que l’autre attend d’être engagé par le deuxième.
Le deuxième rapport étant prêt à l’avance, la boîte monte rapidement en vitesse. Le mode Sport maintient les rapports plus longtemps aussi, et quand on le pousse, le moteur a l’occasion de hurler son mécontentement. Quand il faut changer de rapport, automatiquement ou manuellement, l’embrayage fait son travail sans délai perceptible.
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| La Lancer Ralliart comprend une prestigieuse chaîne Rockford-Fosgate de 710 watts dotée de 9 haut-parleurs.(Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
Sublimes, ces sièges offrent un excellent soutien en piste, par contre ne conviennent pas à un usage quotidien. Quelqu’un ayant des épaules plus larges que les miennes s’y sentirait sûrement mieux. Le groupe Premium coûte 4 200 $.
Il comprend, outre les raffinements mentionnés ci-dessus, une prestigieuse chaîne Rockford-Fosgate de 710 watts dotée de 9 haut-parleurs, un caisson de basses de 10 pouces dans le coffre, un processeur de son adapté à la vitesse ainsi qu’un lecteur 6 CD et MP3. Si, comme moi, vous appréciez une bonne expérience sonore, cette chaîne compensera peut-être l’inconfort des sièges.
Or, on n’achète pas cette Lancer pour ses baquets ni sa salle de concert.
Non, on achète cette Lancer Ralliart pour sa tenue de route et ses performances!
Un moteur turbo de 2,0 litres à 16 soupapes crache 237 ch à 6 000 tours et 253 pi-lb de couple. On l’a jumelé à la boîte Sportronic à six rapports et à double embrayage de Mitsubishi.
Il s’agit d’une automatique qui se comporte à la base comme une manuelle, mais où le conducteur n’a pas à se servir de l’embrayage. La boîte choisit deux rapports à la fois : le premier est engagé par un des deux embrayages multidisques, tandis que l’autre attend d’être engagé par le deuxième.
Le deuxième rapport étant prêt à l’avance, la boîte monte rapidement en vitesse. Le mode Sport maintient les rapports plus longtemps aussi, et quand on le pousse, le moteur a l’occasion de hurler son mécontentement. Quand il faut changer de rapport, automatiquement ou manuellement, l’embrayage fait son travail sans délai perceptible.
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| Le moteur turbo de 2,0 litres a été jumelé à la boîte Sportronic à six rapports et à double embrayage de Mitsubishi. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |