Les palettes au volant et le levier sont tous deux faciles à manipuler.
En mode normal, ce bolide se montre plutôt emballant. Mais quand j’engage le mode Sport à l’aide d’un bouton, mon sourire se fend jusqu’aux oreilles. Les points de changement de vitesse sont plus espacés, assurant des reprises instantanées et des changements très rapides. Oui, les performances améliorées du mode Sport sont nettement évidentes.
Je n’utiliserais que ce model!
La Subaru WRX, quant à elle, dispose d’une boîte manuelle à cinq rapports, et aucune boîte automatique ne se pointe sur son horizon.
La Ralliart profite d’une bonne consommation. Sa cote s’élève à 11,9 L/100km km en ville et 7,9 litres sur la route. Opposez-la à celle de la MazdaSpeed3, qui consomme 13 litres en ville et 9,4 litres sur la route.
La Ralliart a hérité d’une transmission intégrale dotée du différentiel à centre actif de Mitsubishi. Il contrôle le couple envoyé aux roues avant et arrière, établissant le meilleur équilibre possible entre l’adhérence et la sensibilité de la direction selon les conditions.
Outre l’habitacle fade, cette Ralliart reste superbe. On obtient une voiture sport à quatre portières ainsi que la confiance d’une transmission intégrale.
La boîte automatique à double embrayage avec mode manuel représente une incroyable corde à l’arc de la Ralliart. La MazdaSpeed 3 m’a peut-être plu davantage, mais je me demande à quel point les sièges inconfortables de la Ralliart ont jeté un poids dans la balance…
La Lancer de base ne me dit pas grand-chose. Avec la Lancer Ralliart, par contre, on profite d’une berline sport à transmission intégrale qui se manie super bien et qui stimule les sens. Et que le diable l’emporte, j’opterais pour le groupe Premium pour son impressionnante chaîne audio et les sièges Recaro on ne peut plus sport!
En mode normal, ce bolide se montre plutôt emballant. Mais quand j’engage le mode Sport à l’aide d’un bouton, mon sourire se fend jusqu’aux oreilles. Les points de changement de vitesse sont plus espacés, assurant des reprises instantanées et des changements très rapides. Oui, les performances améliorées du mode Sport sont nettement évidentes.
Je n’utiliserais que ce model!
La Subaru WRX, quant à elle, dispose d’une boîte manuelle à cinq rapports, et aucune boîte automatique ne se pointe sur son horizon.
La Ralliart profite d’une bonne consommation. Sa cote s’élève à 11,9 L/100km km en ville et 7,9 litres sur la route. Opposez-la à celle de la MazdaSpeed3, qui consomme 13 litres en ville et 9,4 litres sur la route.
 |
| Avec la Lancer Ralliart, on profite d’une berline sport à transmission intégrale qui se manie super bien et qui stimule les sens. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
La Ralliart a hérité d’une transmission intégrale dotée du différentiel à centre actif de Mitsubishi. Il contrôle le couple envoyé aux roues avant et arrière, établissant le meilleur équilibre possible entre l’adhérence et la sensibilité de la direction selon les conditions.
Outre l’habitacle fade, cette Ralliart reste superbe. On obtient une voiture sport à quatre portières ainsi que la confiance d’une transmission intégrale.
La boîte automatique à double embrayage avec mode manuel représente une incroyable corde à l’arc de la Ralliart. La MazdaSpeed 3 m’a peut-être plu davantage, mais je me demande à quel point les sièges inconfortables de la Ralliart ont jeté un poids dans la balance…
La Lancer de base ne me dit pas grand-chose. Avec la Lancer Ralliart, par contre, on profite d’une berline sport à transmission intégrale qui se manie super bien et qui stimule les sens. Et que le diable l’emporte, j’opterais pour le groupe Premium pour son impressionnante chaîne audio et les sièges Recaro on ne peut plus sport!
Mitsubishi Lancer Ralliart 2011
Mitsubishi Lancer Ralliart 2011
Gallerie de l'article