Vrrroummmm!
Bon, vous voilà prêt à mettre le contact. Vrrrrroummmm... Le VQ35 que Nissan dissémine pourtant dans ses Altima, Quest, Maxima et Murano est ici à son meilleur et il vous fait immédiatement du charme.
Ça commence par un bourdonnement excitant au tuyau d'échappement, qui monte jusque dans vos propres boyaux. Vous faites passer la boîte automatique en mode D et d'un petit coup d'accélérateur - une pédale d'aluminium, bien sûr, vous savez que le charme ne sera pas rompu.
Avec 287 chevaux sous le capot livrés avec une boîte automatique (306 avec la boîte manuelle), le 0-100 km ne demande qu'un peu plus de six secondes. Les accélérations qui viennent des roues arrière sont puissantes et linéaires, les reprises s'exécutent en souplesse. Le roadster est stable, rigide, bien équilibré.
Qui plus est, sa direction est précise et vous en met plein les mains. La suspension? Ferme juste à point, avec un brin de sécheresse que l'on apprécie dans les virages serrés. Le freinage est dynamique - pas surprenant, la version que vous testez est dotée de freins Brembo.
Bref, une vraie et solide sportive, qui vous fait pester contre les limites de vitesse et les patrouilles policières.
Dans un coin tranquillet...
C'est pourquoi vous vous trouvez un petit coin tranquillet, avec en bout de piste un rond-point absolument désert. Vous y faites quelques tours, de plus en plus rapides. Les pneus de 18 pouces s'échauffent, le comportement général est agréablement prévisible. Une presque parfaite répartition du poids (53 : 47) fait que le roadster colle au bitume comme une guêpe à une tartine de miel.
C'est indéniable, vos boyaux continuent de « triper ».
Vous guidez maintenant la 350Z sur l'autoroute où, bien sûr, à peu près toutes les têtes se tournent sur son passage. C'est qu'elle ne vieillit pas, cette 350Z. Même après cinq ans, son allure à la fois chic et rétro conserve sa cote de séduction. Pas une ride, la belle.
Bon, vous voilà prêt à mettre le contact. Vrrrrroummmm... Le VQ35 que Nissan dissémine pourtant dans ses Altima, Quest, Maxima et Murano est ici à son meilleur et il vous fait immédiatement du charme.
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| Une sonorité riche et envoutante. |
Ça commence par un bourdonnement excitant au tuyau d'échappement, qui monte jusque dans vos propres boyaux. Vous faites passer la boîte automatique en mode D et d'un petit coup d'accélérateur - une pédale d'aluminium, bien sûr, vous savez que le charme ne sera pas rompu.
Avec 287 chevaux sous le capot livrés avec une boîte automatique (306 avec la boîte manuelle), le 0-100 km ne demande qu'un peu plus de six secondes. Les accélérations qui viennent des roues arrière sont puissantes et linéaires, les reprises s'exécutent en souplesse. Le roadster est stable, rigide, bien équilibré.
Qui plus est, sa direction est précise et vous en met plein les mains. La suspension? Ferme juste à point, avec un brin de sécheresse que l'on apprécie dans les virages serrés. Le freinage est dynamique - pas surprenant, la version que vous testez est dotée de freins Brembo.
Bref, une vraie et solide sportive, qui vous fait pester contre les limites de vitesse et les patrouilles policières.
Dans un coin tranquillet...
C'est pourquoi vous vous trouvez un petit coin tranquillet, avec en bout de piste un rond-point absolument désert. Vous y faites quelques tours, de plus en plus rapides. Les pneus de 18 pouces s'échauffent, le comportement général est agréablement prévisible. Une presque parfaite répartition du poids (53 : 47) fait que le roadster colle au bitume comme une guêpe à une tartine de miel.
C'est indéniable, vos boyaux continuent de « triper ».
Vous guidez maintenant la 350Z sur l'autoroute où, bien sûr, à peu près toutes les têtes se tournent sur son passage. C'est qu'elle ne vieillit pas, cette 350Z. Même après cinq ans, son allure à la fois chic et rétro conserve sa cote de séduction. Pas une ride, la belle.
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| Une ligne qui défie le temps. |