À quand un 6e rapport?
Oups! Voici la sortie pour la mer. Vous enfilez la bretelle et vous vous retrouvez en conduite urbaine. Vous roulez plus gentiment, au son d'un « Love is in the air » interprété à la sauce flamenco gitane.
L'amour est effectivement dans l'air, mais il vous faut bien l'admettre, pas pour la boîte automatique cinq rapports qui, d'un feu de circulation à l'autre, se fait plus ou moins efficace. Entre 40 et 80 km/h, ses rapports se cherchent constamment, jouant avec l'aiguille des révolutions et vos propres nerfs.
Au point où vous vous interrogez : avec l'actuelle et féroce concurrence du marché, comment se fait-il que la 350Z ne se soit pas encore payé une transmission automatique à six rapports? Elle le fait bien pour sa boîte manuelle... Et à quand les commandes au volant, s'il vous plaît?
Et si l'argent comptait?
Rappelez-vous : l'argent n'était pas un facteur à considérer. Oui, mais... Si l'on commence sérieusement à tenir compte du côté monétaire de la chose, l'on ne peut que déchanter.
Non pas en raison des performances du roadster, qui sont inattaquables. Mais avouez : à 54 000$, voire 60 000$ pour la version essayée, ça revient cher du porte-gobelet.
Il n'en faut pas plus pour que vous réexaminiez plus attentivement ce plastique intérieur, que vous trouvez définitivement trop bon marché. Vous réévaluez ce volant non télescopique. Et vous méditez sur cet antidérapage qui n'est pas de série sur toutes les versions - tout comme les coussins gonflables latéraux et les sièges chauffants, d'ailleurs.
Finalement, vous vous dites que la 350Z commet peut-être un péché d'arrogance. Oh, elle a bien le droit, mais vous aussi, avez un droit : celui d'envisager d'autres belles décapotables biplaces. Telles les Audi TT et Porsche Boxter. Ces dernières exigent bien quelques milliers de dollars supplémentaires, mais tant qu'à y être... Et après tout, l'on s'était dit d'oublier tout ce qui avait trait à l'argent, pas vrai?
photo:Philippe Champoux
Oups! Voici la sortie pour la mer. Vous enfilez la bretelle et vous vous retrouvez en conduite urbaine. Vous roulez plus gentiment, au son d'un « Love is in the air » interprété à la sauce flamenco gitane.
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| La 350Z est disponible munie d'une boîte manuelle à 6 rapports ou automatique à 5 rapports. |
L'amour est effectivement dans l'air, mais il vous faut bien l'admettre, pas pour la boîte automatique cinq rapports qui, d'un feu de circulation à l'autre, se fait plus ou moins efficace. Entre 40 et 80 km/h, ses rapports se cherchent constamment, jouant avec l'aiguille des révolutions et vos propres nerfs.
Au point où vous vous interrogez : avec l'actuelle et féroce concurrence du marché, comment se fait-il que la 350Z ne se soit pas encore payé une transmission automatique à six rapports? Elle le fait bien pour sa boîte manuelle... Et à quand les commandes au volant, s'il vous plaît?
Et si l'argent comptait?
Rappelez-vous : l'argent n'était pas un facteur à considérer. Oui, mais... Si l'on commence sérieusement à tenir compte du côté monétaire de la chose, l'on ne peut que déchanter.
Non pas en raison des performances du roadster, qui sont inattaquables. Mais avouez : à 54 000$, voire 60 000$ pour la version essayée, ça revient cher du porte-gobelet.
Il n'en faut pas plus pour que vous réexaminiez plus attentivement ce plastique intérieur, que vous trouvez définitivement trop bon marché. Vous réévaluez ce volant non télescopique. Et vous méditez sur cet antidérapage qui n'est pas de série sur toutes les versions - tout comme les coussins gonflables latéraux et les sièges chauffants, d'ailleurs.
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| À un prix de départ de 54 000$, il faut y penser à deux fois. |
Finalement, vous vous dites que la 350Z commet peut-être un péché d'arrogance. Oh, elle a bien le droit, mais vous aussi, avez un droit : celui d'envisager d'autres belles décapotables biplaces. Telles les Audi TT et Porsche Boxter. Ces dernières exigent bien quelques milliers de dollars supplémentaires, mais tant qu'à y être... Et après tout, l'on s'était dit d'oublier tout ce qui avait trait à l'argent, pas vrai?
photo:Philippe Champoux
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