Or, j’ai vite réalisé que j’avais activé le système SynchroRev Match de la 370Z, qui s’occupe de faire le travail lui-même. Il s’agit d’une première pour une transmission manuelle. Avec cette technologie, rétrograder devient aussi facile qu’allumer une lumière. Bon, cet exemple s’avère un peu trop simpliste, mais vous comprenez ce que je veux dire. Juste avant de sortir d’une courbe, glissez le levier de la 4e à la 2e vitesse et, vrooom!, le moteur réagit instantanément pour adopter le régime idéal du 2e rapport et favoriser une action d’embrayage impeccable.
Il m’a fallu quelques kilomètres au volant avant de pouvoir apprécier pleinement le génie électronique du système SynchroRev Match. Croyez-moi, quand on y a goûté, on ne veut plus revenir en arrière, surtout si l’on met la gomme en conduisant. À ce moment, la 370Z devient un régal.
La fougue de 332 chevaux
La quatrième génération du réputé moteur VQ de Nissan met à la disposition du conducteur une cavalerie formée de 332 vaillants chevaux, résultat de la cylindrée augmentée à 3,7 litres. La compagnie vante le couple à bas régime et je ne peux qu’approuver. Quelque 270 livres-pied sont générées à 5200 tours/minute, mais la vaste majorité reste accessible bien avant cette hauteur. En fait, rarement ai-je senti le besoin de rétrograder, même en accélérant à partir de 2000 tours/minute ou moins.
Parlant d’accélérer, la petite bombe japonaise démontre toute la férocité d’un doberman de dépotoir. Elle atteint les 100 km/h en 5,6 secondes, produisant du même coup un rugissement guttural capable d’intimider des hommes et des femmes aguerris. Je m’attendais à un peu plus de raffinement de la part de ce moteur, étant donné mes expériences dans d’autres modèles Nissan qui en étaient dotés, mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. La fougue sauvage du V6 de la Z se traduit par un fonctionnement plein de caractère et d’agressivité.
Un freinage et une maniabilité de très haut niveau
La Nissan 370Z 2010 se comporte superbement en piste, donnant l’impression de coller au tarmac et même de mordre dedans. La réponse de la direction se veut immédiate et ultra précise. Bien sûr, il y a un revers à cette médaille et il s’agit d’une suspension rigide assortie d’un bruit substantiel provenant des pneus.
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| La quatrième génération du réputé moteur VQ de Nissan met à la disposition du conducteur une cavalerie formée de 332 vaillants chevaux. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Il m’a fallu quelques kilomètres au volant avant de pouvoir apprécier pleinement le génie électronique du système SynchroRev Match. Croyez-moi, quand on y a goûté, on ne veut plus revenir en arrière, surtout si l’on met la gomme en conduisant. À ce moment, la 370Z devient un régal.
La fougue de 332 chevaux
La quatrième génération du réputé moteur VQ de Nissan met à la disposition du conducteur une cavalerie formée de 332 vaillants chevaux, résultat de la cylindrée augmentée à 3,7 litres. La compagnie vante le couple à bas régime et je ne peux qu’approuver. Quelque 270 livres-pied sont générées à 5200 tours/minute, mais la vaste majorité reste accessible bien avant cette hauteur. En fait, rarement ai-je senti le besoin de rétrograder, même en accélérant à partir de 2000 tours/minute ou moins.
Parlant d’accélérer, la petite bombe japonaise démontre toute la férocité d’un doberman de dépotoir. Elle atteint les 100 km/h en 5,6 secondes, produisant du même coup un rugissement guttural capable d’intimider des hommes et des femmes aguerris. Je m’attendais à un peu plus de raffinement de la part de ce moteur, étant donné mes expériences dans d’autres modèles Nissan qui en étaient dotés, mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. La fougue sauvage du V6 de la Z se traduit par un fonctionnement plein de caractère et d’agressivité.
Un freinage et une maniabilité de très haut niveau
La Nissan 370Z 2010 se comporte superbement en piste, donnant l’impression de coller au tarmac et même de mordre dedans. La réponse de la direction se veut immédiate et ultra précise. Bien sûr, il y a un revers à cette médaille et il s’agit d’une suspension rigide assortie d’un bruit substantiel provenant des pneus.
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| Elle atteint les 100 km/h en 5,6 secondes, produisant du même coup un rugissement guttural capable d’intimider des hommes et des femmes aguerris. (Photo: NIssan) |