J’arrive à peine à croire que 40 ans se soient écoulés depuis le lancement de la toute première Z de Nissan en Amérique du Nord. Connue dans les années 1970 sous le nom Datsun 240Z, cette sportive biplace à deux portes a révolutionné un segment dominé par les «muscle cars» américains, offrant une alternative sophistiquée et frugale aux gros V8 énergivores qui dévoraient les quarts de mille mais traînaient de la patte sur les circuits de course.
La 240Z affichait un meilleur rapport poids/puissance et proposait une vraie tenue de route de voiture sport afin de récompenser les mordus du volant. Assurément, il était rare à l’époque de trouver un moteur à six cylindres en ligne de 2,4 litres sous le capot d’une sportive japonaise. En fait, c’est encore rare de nos jours, les constructeurs nippons se fiant presque exclusivement à une configuration en «V» pour leurs moteurs à six cylindres.
En 1984, la Z a fini par adopter un V6. D’une cylindrée de 3,0 litres, il alimentait celle qu’on appelait dorénavant la 300ZX et qui a dominé les ventes de voitures sport aux États-Unis cette année-là. Aujourd’hui, en 2010, la Z n’a jamais été aussi puissante.
Édition 40e anniversaire
Afin de célébrer le 40e anniversaire de la Z sur les routes nord-américaines, Nissan a produit une édition limitée à équipement exclusif – disponible en version coupé à roues motrices arrière, comme le veut la tradition. La carrosserie arbore une peinture de couleur quartz (un gris plutôt attrayant), tandis que les sièges sont garnis de cuir et de suède synthétique rouge visant à créer un contraste (ils incorporent aussi un logo «40e anniversaire»).
Le menu de cette édition spéciale comprend en outre les ensembles Sport, Navigation et Tourisme, ce qui fait bondir la facture à 48 498 $. Pour ce prix, les acheteurs obtiennent beaucoup de performance excitante, des technologies dernier cri et un design hyper séduisant. Et que dire du son!
SynchroRev Match
En prenant place pour la première fois dans mon modèle d’essai et en jouant avec les six rapports de sa boîte manuelle, j’ai été fort étonné d’entendre le moteur tourner vigoureusement lors des rétrogradations, même si je relâchais expressément et momentanément la pédale d’accélérateur afin de changer de rapport en douceur. Un moteur qui s’emballe n’est jamais une bonne chose et, avant que j’apprenne ce qui se passait réellement, j’avoue avoir éprouvé une certaine crainte.
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| Cette sportive biplace à deux portes a révolutionné un segment dominé par les «muscle cars» américains. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
La 240Z affichait un meilleur rapport poids/puissance et proposait une vraie tenue de route de voiture sport afin de récompenser les mordus du volant. Assurément, il était rare à l’époque de trouver un moteur à six cylindres en ligne de 2,4 litres sous le capot d’une sportive japonaise. En fait, c’est encore rare de nos jours, les constructeurs nippons se fiant presque exclusivement à une configuration en «V» pour leurs moteurs à six cylindres.
En 1984, la Z a fini par adopter un V6. D’une cylindrée de 3,0 litres, il alimentait celle qu’on appelait dorénavant la 300ZX et qui a dominé les ventes de voitures sport aux États-Unis cette année-là. Aujourd’hui, en 2010, la Z n’a jamais été aussi puissante.
Édition 40e anniversaire
Afin de célébrer le 40e anniversaire de la Z sur les routes nord-américaines, Nissan a produit une édition limitée à équipement exclusif – disponible en version coupé à roues motrices arrière, comme le veut la tradition. La carrosserie arbore une peinture de couleur quartz (un gris plutôt attrayant), tandis que les sièges sont garnis de cuir et de suède synthétique rouge visant à créer un contraste (ils incorporent aussi un logo «40e anniversaire»).
Le menu de cette édition spéciale comprend en outre les ensembles Sport, Navigation et Tourisme, ce qui fait bondir la facture à 48 498 $. Pour ce prix, les acheteurs obtiennent beaucoup de performance excitante, des technologies dernier cri et un design hyper séduisant. Et que dire du son!
SynchroRev Match
En prenant place pour la première fois dans mon modèle d’essai et en jouant avec les six rapports de sa boîte manuelle, j’ai été fort étonné d’entendre le moteur tourner vigoureusement lors des rétrogradations, même si je relâchais expressément et momentanément la pédale d’accélérateur afin de changer de rapport en douceur. Un moteur qui s’emballe n’est jamais une bonne chose et, avant que j’apprenne ce qui se passait réellement, j’avoue avoir éprouvé une certaine crainte.
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| Le menu de cette édition spéciale comprend en outre les ensembles Sport, Navigation et Tourisme, ce qui fait bondir la facture à 48 498 $. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |