Petit mais fougueux
Vous me connaissez, je m’intéresse davantage à ce qui se cache sous le capot. Nissan a répondu à la demande des consommateurs d'améliorer l'efficacité énergétique sans compromettre la performance. Comment? En dotant le Juke d'un petit moteur à essence de 1,6 litre avec turbocompresseur et injection directe.
Ce fougueux quatre-cylindres peut générer une puissance de 188 chevaux à 5600 tours/minute et un couple de 177 livres-pied de 2000 à 5200 tours/minute. Pareils chiffres sembleraient maigres dans le cas d'un véhicule gros et lourd, mais pour le Juke SL à traction avant qui pèse 1323 kilos (2917 livres), ils se traduisent par un rendement étoffé et dynamique, en particulier quand le moteur s'associe à la boîte manuelle à six rapports, comme le faisait mon modèle d'essai.
Je me suis régalé de la vaste plage de couple disponible. La présence d'un levier manuel léger à course courte a rendu l'expérience encore plus gratifiante que la boîte automatique à variation continue (CVT) testée lors d'un premier essai du Juke en octobre dernier.
Tenue de route vive et sportive
C'est sur la piste que j'ai vraiment exploité le potentiel athlétique du nouveau multisegments de Nissan et j'en suis resté impressionné. On peut le lancer sans problème dans les courbes et, malgré la garde au sol typique de ce genre de véhicule, sa tenue de route s'avère plaisante et prévisible. J'ai trouvé le Juke remarquablement rapide dans le parcours de slalom et les autres défis concoctés par l'AJAC dans le cadre de son Festival des essais.
Le freinage représente une autre de ses forces. Évidemment, la légèreté du véhicule y joue pour beaucoup, contribuant à des arrêts immédiats et sans effort. Notons la présence de freins à disque avec antiblocage aux quatre roues parmi l'équipement de série, sans parler des nombreux coussins gonflables et dispositifs de sécurité active.
Mot de la fin
Le Nissan Juke 2011 constitue une énigme dans l'univers des multisegments – une énigme pleine de classe et de finesse. Le fonctionnement raffiné de son moteur m'a fasciné; il adore grimper dans les tours, ses cris ne traduisant aucune fatigue ni hésitation. En fait, l'esprit qui l'anime m'apparaît davantage digne d'une voiture sport que d'un utilitaire.
Vous me connaissez, je m’intéresse davantage à ce qui se cache sous le capot. Nissan a répondu à la demande des consommateurs d'améliorer l'efficacité énergétique sans compromettre la performance. Comment? En dotant le Juke d'un petit moteur à essence de 1,6 litre avec turbocompresseur et injection directe.
Ce fougueux quatre-cylindres peut générer une puissance de 188 chevaux à 5600 tours/minute et un couple de 177 livres-pied de 2000 à 5200 tours/minute. Pareils chiffres sembleraient maigres dans le cas d'un véhicule gros et lourd, mais pour le Juke SL à traction avant qui pèse 1323 kilos (2917 livres), ils se traduisent par un rendement étoffé et dynamique, en particulier quand le moteur s'associe à la boîte manuelle à six rapports, comme le faisait mon modèle d'essai.
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| Ce fougueux quatre-cylindres peut générer une puissance de 188 chevaux à 5600 tours/minute et un couple de 177 livres-pied de 2000 à 5200 tours/minute. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Je me suis régalé de la vaste plage de couple disponible. La présence d'un levier manuel léger à course courte a rendu l'expérience encore plus gratifiante que la boîte automatique à variation continue (CVT) testée lors d'un premier essai du Juke en octobre dernier.
Tenue de route vive et sportive
C'est sur la piste que j'ai vraiment exploité le potentiel athlétique du nouveau multisegments de Nissan et j'en suis resté impressionné. On peut le lancer sans problème dans les courbes et, malgré la garde au sol typique de ce genre de véhicule, sa tenue de route s'avère plaisante et prévisible. J'ai trouvé le Juke remarquablement rapide dans le parcours de slalom et les autres défis concoctés par l'AJAC dans le cadre de son Festival des essais.
Le freinage représente une autre de ses forces. Évidemment, la légèreté du véhicule y joue pour beaucoup, contribuant à des arrêts immédiats et sans effort. Notons la présence de freins à disque avec antiblocage aux quatre roues parmi l'équipement de série, sans parler des nombreux coussins gonflables et dispositifs de sécurité active.
Mot de la fin
Le Nissan Juke 2011 constitue une énigme dans l'univers des multisegments – une énigme pleine de classe et de finesse. Le fonctionnement raffiné de son moteur m'a fasciné; il adore grimper dans les tours, ses cris ne traduisant aucune fatigue ni hésitation. En fait, l'esprit qui l'anime m'apparaît davantage digne d'une voiture sport que d'un utilitaire.
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| Le Nissan Juke 2011 constitue une énigme dans l'univers des multisegments – une énigme pleine de classe et de finesse. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |