Généralement fiable, la Grand Prix n'était toutefois pas sans défauts. Méfiez-vous des problèmes d'assemblage et de finition, surtout à
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| Généralement fiable, la Grand Prix n'était toutefois pas sans défauts. (Photo: General Motors du Canada) |
l'intérieur de l'habitacle. De plus, des rappels majeurs ont affecté la plupart des année-modèles. Les voitures initiales de 1997 ont connu des problèmes au niveau des essuie-glaces qui cessaient de fonctionner, habituellement en conditions difficiles telles que de la neige ou la glace accumulée, dû à une séparation entre l'ergot d'entraînement et le croissant dans l'assemblage du bras de manivelle. Les moteurs de 3,1 litres des voitures de 1999 avaient des modules de contrôle qui ont été incorrectement manufacturés. Les voitures de l'année-modèle 2000 avaient des modules de coussins gonflables du côté passager qui ont pu avoir un orifice d'inflation sous dimensionné. Des problèmes similaires ont affecté les modèles 2001. Des modules d'inflation des coussins gonflables du côté passager ont été construits sans le montant exact de générant, qui
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| Peu importe la version, que ce soit SE, GT ou GTP, la Pontiac Grand Prix de 1997 à 2003 performe de façon décente tout en ayant un aspect pratique. (Photo: General Motors du Canada) |
produit le gaz qui remplit le coussin. Certains en avaient trop peu, d'autres avaient deux fois la dose, qui pouvait faire exploser le module. La plupart des rappels devraient avoir été corrigés.
Les prix varient considérablement à l'intérieur de chaque année-modèle, et c'est les versions GTP haut de gamme qui retiennent le mieux leur valeur de revente. Peu importe la version, que ce soit SE, GT ou GTP, la Pontiac Grand Prix de 1997 à 2003 performe de façon décente tout en ayant l'aspect pratique d'une quatre portes--à moins, bien sûr, d'opter pour le coupé. De plus, la fiabilité est supérieure à la moyenne, la faisant un bon choix comme véhicule d'occasion.
