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Volvo V50 2.4i 2005

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Le meilleur taux d'intérêt
Rob Rothwell
N'est plus une banalité
La V50 est équipée d'un moteur cinq cylindres en ligne de 2,4 litres (146 pouces cubes). Dû à des forces qui sont vraiment hors de mon contrôle,
La V50 est équipée d'un moteur cinq cylindres en ligne de 2,4 litres (146 pouces cubes). (Photo: Rob Rothwell, Canadian Auto Press)
j'ai été assez fortuné d'avoir deux tels moteurs cette semaine, l'autre étant le nouveau cinq cylindres 2,5 litres (153 pouces cubes) de Volkswagen que l'on retrouve sous le capot de son tout nouveau Jetta 2006. Ce qui est intéressant, l'offrande légèrement plus volumineuse en cylindrée produit moins de chevaux mais davantage de couple que l'exemplaire de Volvo, mais seulement par une mince marge. Le suédois déferle 168 chevaux et 166 pied-livres dans sa version atmosphérique, tandis que le moulin allemand produit 150 chevaux, mais aussi 170 pied-livres de couple.

Sans considérer le poids des véhicules et leurs transmissions, j'ai trouvé que le cinq cylindres de Volkswagen possédait plus d'étincelle que celui de Volvo. Elle émet également un son un peu plus grinçant en produisant les chevaux supplémentaires. La livrée de puissance du cinq de Volvo est plus calme, mais le moteur compense pour son manque de nervosité avec un raffinement d'opération supérieur et moins de bruit. Une accélération de 0 à 100 km dans la V50 est établie à 8,7 secondes avec le moteur atmosphérique, qui équipait la voiture d'essai. Ceci peut être facilement remédié en optant pour la V50 T5, qui se voit fixer un turbocompresseur
Une transmission manuelle à cinq vitesses qui performait sans faille, qui se déplaçait de rapport en rapport avec une course courte, définitive et fluide comme dans du beurre. (Photo: Rob Rothwell, Canadian Auto Press)
et une boîte manuelle à 6 vitesses sur le moteur de 2,4 litres. La puissance grimpe à 218 chevaux et 236 pied-livres de couple, ce qui permettra de raser environ deux secondes du temps d'accélération.

La puissance remarquablement docile générée sous le capot de ma voiture d'essai était mue par une transmission manuelle à cinq vitesses qui performait sans faille, qui se déplaçait de rapport en rapport avec une course courte, définitive et fluide comme dans du beurre. Changer de vitesse était encore plus agréable avec l'aide d'un embrayage léger et naturellement progressif. Probablement à cause des dimensions compactes de l'espace pour les pieds, les trois pédales semblaient être positionnés plutôt rapprochées entre eux. Initialement, j'ai eu un certain malaise à manoeuvrer mes grandeurs 10 sans accrocher un bout de pédale. Avec le temps, par contre, j'ai développé une dextérité avec les pédales et j'ai appris à apprécier leur proximité étroite. Si ramer à travers les vitesses n'est pas votre plaisir, une boîte automatique à 5 vitesses avec mode manuel est disponible.
Rob Rothwell
Rob Rothwell
Expert automobile
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