Alors que la saison du Championnat du monde des rallyes a redémarré en Suède, Sébastien Loeb a évoqué son avenir après le rallye, et s’est dit intéressé par les courses en circuit, et notamment le DTM.
Le septuple champion du monde français n’a pas encore décidé de son avenir en rallye à l’issue de la saison 2011, mais il pense déjà à sa reconversion après le WRC, et se dit très intéressé par le très relevé championnat d’Allemagne de Supertourisme, plus connu sous l’appellation DTM.
« Aujourd’hui, oui, je vous dirai que je vais arrêter en fin d’année, a-t-il confié au journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Mais si ça se trouve, au printemps ou à l’été, je serai motivé pour rempiler encore un an. Je me pose pas mal de questions à ce sujet… »
« Le DTM m’attire, poursuit-il. Cela correspond bien à mon côté fils unique, plutôt solo, avec des bagarres sur la piste que l’on ne retrouve pas dans les courses par équipe. C’est une discipline où il faut s’investir, bosser pour progresser. Tu n’arrives pas en étant tout de suite le n°1. C’est motivant ».
Mais Sébastien Loeb ne néglige pas d’autres pistes, comme le rallye raid ou l’endurance.
« Participer un jour au Dakar serait sympa. Il y a aussi le circuit, et notamment les 24 Heures du Mans. Même si j’y ai renoncé au dernier moment l’an dernier, je ne pense pas que la porte de Peugeot soit définitivement fermée ».
Le septuple champion du monde français n’a pas encore décidé de son avenir en rallye à l’issue de la saison 2011, mais il pense déjà à sa reconversion après le WRC, et se dit très intéressé par le très relevé championnat d’Allemagne de Supertourisme, plus connu sous l’appellation DTM.
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| Mercedes Classe-C DTM (Photo: René Fagnan/Auto123.com) |
« Aujourd’hui, oui, je vous dirai que je vais arrêter en fin d’année, a-t-il confié au journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Mais si ça se trouve, au printemps ou à l’été, je serai motivé pour rempiler encore un an. Je me pose pas mal de questions à ce sujet… »
« Le DTM m’attire, poursuit-il. Cela correspond bien à mon côté fils unique, plutôt solo, avec des bagarres sur la piste que l’on ne retrouve pas dans les courses par équipe. C’est une discipline où il faut s’investir, bosser pour progresser. Tu n’arrives pas en étant tout de suite le n°1. C’est motivant ».
Mais Sébastien Loeb ne néglige pas d’autres pistes, comme le rallye raid ou l’endurance.
« Participer un jour au Dakar serait sympa. Il y a aussi le circuit, et notamment les 24 Heures du Mans. Même si j’y ai renoncé au dernier moment l’an dernier, je ne pense pas que la porte de Peugeot soit définitivement fermée ».