Or, même si le coffre d'une Camry ou d'une Accord a un volume utile inférieur (respectivement 425 et 397 litres), chacun demeure néanmoins plus convivial, simplement parce que leur ouverture est plus généreuse, et leur hauteur libre à l'intérieur, plus importante. Et ça, pour une automobile à vocation familiale ou commerciale, c'est un facteur déterminant !
2LT vs hybride...
Pour l'acheteur de produits Chevrolet, qui recherche avant tout une grande routière, la Malibu 2LT présente néanmoins un avantage inattendu. Sa consommation sur la route est égale à celle de sa contrepartie hybride.
Le tapage publicitaire entourant les voitures à groupe motopropulseur hybride laisse croire, en effet, qu'ils sont la solution à tous les maux. Dans ce cas, les chiffres démontrent clairement qu'une Malibu Hybrid trouve sa place en ville avant tout.
Malgré les pires conditions routières et climatiques défavorables (tempête de neige, verglas), un trajet aller-retour Montréal-Windsor sur l'autoroute 401 nous a permis de relever une consommation moyenne de carburant surprenante. Elle s'est chiffrée à 8 litres aux 100 kilomètres à une vitesse moyenne de 91 km/h. C'est à peu de choses près la cote moyenne annoncée par le constructeur pour ce modèle : 7,65 litres aux 100 kilomètres.
Or, toujours selon le constructeur, la Malibu Hybrid aurait une consommation moyenne de 6,85 litres aux 100 kilomètres, ce qui représente un écart de 11 % qui se monnaie 1300 $ à l'achat, soit l'écart entre le prix de base la Malibu 2LT et l'hybride.
Pour un automobiliste qui passe plus de temps sur l'autoroute qu'en ville, cette comparaison élimine derechef l'hybride de toutes considérations d'achat. Personnellement, la servodirection électrique de cette dernière, déraisonnablement surassistée, suffirait à exclure la Malibu Hybrid (comme l'Aura Green Line, sa jumelle) d'une liste d'achat, mais bon, soyons un peu objectifs...
La comparaison d'une Toyota Camry SE, équipée du 4-cylindres de 2,4 litres, et de sa contrepartie hybride, fait apparaître un écart de consommation de l'ordre de 27 %, nettement plus alléchant. Malheureusement, la différence est à la mesure de cet écart : 5 225 $ ! Pareille différence de prix peut-elle se justifier par la seule volonté de protéger notre environnement, surtout quand on sait qu'une voiture hybride impose un coût environnemental supérieur à sa fabrication ?
Mais tout cela, c'est un autre débat. Des considérations hors d'ordre pour l'acheteur d'une Malibu, qui trouvera nettement plus d'agrément au volant d'une 2LT.
photo:Luc Gagné
2LT vs hybride...
Pour l'acheteur de produits Chevrolet, qui recherche avant tout une grande routière, la Malibu 2LT présente néanmoins un avantage inattendu. Sa consommation sur la route est égale à celle de sa contrepartie hybride.
Le tapage publicitaire entourant les voitures à groupe motopropulseur hybride laisse croire, en effet, qu'ils sont la solution à tous les maux. Dans ce cas, les chiffres démontrent clairement qu'une Malibu Hybrid trouve sa place en ville avant tout.
Malgré les pires conditions routières et climatiques défavorables (tempête de neige, verglas), un trajet aller-retour Montréal-Windsor sur l'autoroute 401 nous a permis de relever une consommation moyenne de carburant surprenante. Elle s'est chiffrée à 8 litres aux 100 kilomètres à une vitesse moyenne de 91 km/h. C'est à peu de choses près la cote moyenne annoncée par le constructeur pour ce modèle : 7,65 litres aux 100 kilomètres.
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| Le design de la Malibu fait preuve d'originalité et d'un souci du détail peu commun de la part de Chevrolet. |
Or, toujours selon le constructeur, la Malibu Hybrid aurait une consommation moyenne de 6,85 litres aux 100 kilomètres, ce qui représente un écart de 11 % qui se monnaie 1300 $ à l'achat, soit l'écart entre le prix de base la Malibu 2LT et l'hybride.
Pour un automobiliste qui passe plus de temps sur l'autoroute qu'en ville, cette comparaison élimine derechef l'hybride de toutes considérations d'achat. Personnellement, la servodirection électrique de cette dernière, déraisonnablement surassistée, suffirait à exclure la Malibu Hybrid (comme l'Aura Green Line, sa jumelle) d'une liste d'achat, mais bon, soyons un peu objectifs...
La comparaison d'une Toyota Camry SE, équipée du 4-cylindres de 2,4 litres, et de sa contrepartie hybride, fait apparaître un écart de consommation de l'ordre de 27 %, nettement plus alléchant. Malheureusement, la différence est à la mesure de cet écart : 5 225 $ ! Pareille différence de prix peut-elle se justifier par la seule volonté de protéger notre environnement, surtout quand on sait qu'une voiture hybride impose un coût environnemental supérieur à sa fabrication ?
Mais tout cela, c'est un autre débat. Des considérations hors d'ordre pour l'acheteur d'une Malibu, qui trouvera nettement plus d'agrément au volant d'une 2LT.
photo:Luc Gagné
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