Pollution Probe est une firme environnementale de Toronto qui se spécialise dans la recherche et la sensibilisation du public canadien aux enjeux comme la qualité de l’air et de l’eau, ainsi que les changements climatiques.
Récemment, elle s’est penchée sur la façon dont les Canadiens perçoivent les nouveaux véhicules diesels, hybrides et électriques arrivés sur le marché. J’ai discuté avec son directeur exécutif, Bob Oliver, pour en savoir davantage sur les résultats de l’enquête.
J.P.: En général, les acheteurs de véhicules neufs sont-ils ouverts à l’idée de posséder un modèle diesel, hybride ou électrique?
B.O.: Environ le quart des consommateurs sondés fait partie de ce que nous appelons les «hâtifs». Ceux-ci n’hésitent pas à considérer sérieusement l’achat d’un véhicule dont la technologie est nouvelle et relativement fiable, comme les systèmes hybrides ou les nouveaux moteurs diesels propres.
Toutefois, même ces personnes font preuve de réticence envers les voitures électriques, surtout comme principal moyen de transport, à moins que des incitatifs et des garanties supplémentaires viennent s’ajouter.
J.P.: À quel point les acheteurs se préoccupent-ils de la fiabilité et de la performance à long terme des véhicules diesels ou hybrides?
B.O.: La fiabilité ne paraît pas être une préoccupation majeure chez cette clientèle. Souvent, ils sont bien au courant de la performance offerte. Il faut dire que les hybrides sont commercialisés au Canada depuis plus de 10 ans maintenant…
En majorité, les consommateurs ne semblent toutefois pas pouvoir faire une réelle différence entre les hybrides/diesels et les véhicules conventionnels. Ce manque de connaissances représente une barrière qui freine la demande généralisée pour des véhicules à technologie alternative.
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| Mini E (Photo: BMW) |
Récemment, elle s’est penchée sur la façon dont les Canadiens perçoivent les nouveaux véhicules diesels, hybrides et électriques arrivés sur le marché. J’ai discuté avec son directeur exécutif, Bob Oliver, pour en savoir davantage sur les résultats de l’enquête.
J.P.: En général, les acheteurs de véhicules neufs sont-ils ouverts à l’idée de posséder un modèle diesel, hybride ou électrique?
B.O.: Environ le quart des consommateurs sondés fait partie de ce que nous appelons les «hâtifs». Ceux-ci n’hésitent pas à considérer sérieusement l’achat d’un véhicule dont la technologie est nouvelle et relativement fiable, comme les systèmes hybrides ou les nouveaux moteurs diesels propres.
Toutefois, même ces personnes font preuve de réticence envers les voitures électriques, surtout comme principal moyen de transport, à moins que des incitatifs et des garanties supplémentaires viennent s’ajouter.
J.P.: À quel point les acheteurs se préoccupent-ils de la fiabilité et de la performance à long terme des véhicules diesels ou hybrides?
B.O.: La fiabilité ne paraît pas être une préoccupation majeure chez cette clientèle. Souvent, ils sont bien au courant de la performance offerte. Il faut dire que les hybrides sont commercialisés au Canada depuis plus de 10 ans maintenant…
En majorité, les consommateurs ne semblent toutefois pas pouvoir faire une réelle différence entre les hybrides/diesels et les véhicules conventionnels. Ce manque de connaissances représente une barrière qui freine la demande généralisée pour des véhicules à technologie alternative.
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| 2010 Toyota Prius (Photo: Toyota) |