6e position : Dodge Durango Crew 2011 – 74,0 %
Le nouveau Dodge Durango constitue LA déception de ce test. De retour après un an d'absence, fort d'une carrosserie remodelée, d'un groupe motopropulseur amélioré et plus efficace ainsi que d'un habitacle totalement réaménagé, il s'accompagnait d'attentes très élevées. D'ailleurs, lors d'un essai routier d'une semaine, nous l'avons beaucoup apprécié. Dans notre match comparatif, toutefois, il en est allé autrement.
Commençons par le bon. La plupart de nos essayeurs ont aimé l'allure coriace du Durango, tout comme son nouveau tableau de bord convivial. L'ergonomie et la disposition des commandes ont su générer des commentaires positifs tout au long de la journée. Hormis l'irritant système de navigation Garmin, la fonctionnalité de ce véhicule nous a séduits. Bravo aussi pour le confort intérieur, autant les sièges que l'entrée et la sortie, même à la troisième rangée.
En temps normal sur la route, le Durango se montre calme, détendu et hyper silencieux. La direction à assistance électrique fournit une assistance variable bien calculée et la pédale de frein communicative offre une bonne sensation. Dans un environnement urbain typique, le gros Dodge nous a surpris par son agilité et sa manœuvrabilité.
Là où ça se gâte, c'est sur les chaussées endommagées. Le roulement s'agite, le contrôle s'effrite et l'arrière-train qui sautille d'un côté et de l'autre fait carrément peur. Pleinement chargé, le Durango a fait passer un mauvais quart d'heure aux occupants les plus reculés. L'autre grande faiblesse s'avère le manque de fougue. Le V6 Pentastar de 3,6 litres a beau afficher la puissance la plus élevée de la catégorie, mais il doit se fier à une boîte automatique paresseuse comptant seulement cinq rapports pour propulser une masse frôlant les 5000 livres (2262 kilos). Un beau gaspillage.
Étrangement, malgré le poids colossal du Durango, sa consommation d'essence demeure respectable – la troisième meilleure dans notre classement. Deux de nos évaluateurs ont bien aimé ce qu'ils ont vu dans l'ensemble, mais les lacunes importantes mentionnées ci-haut ont fini par peser plus lourd dans la balance.
Le nouveau Dodge Durango constitue LA déception de ce test. De retour après un an d'absence, fort d'une carrosserie remodelée, d'un groupe motopropulseur amélioré et plus efficace ainsi que d'un habitacle totalement réaménagé, il s'accompagnait d'attentes très élevées. D'ailleurs, lors d'un essai routier d'une semaine, nous l'avons beaucoup apprécié. Dans notre match comparatif, toutefois, il en est allé autrement.
Commençons par le bon. La plupart de nos essayeurs ont aimé l'allure coriace du Durango, tout comme son nouveau tableau de bord convivial. L'ergonomie et la disposition des commandes ont su générer des commentaires positifs tout au long de la journée. Hormis l'irritant système de navigation Garmin, la fonctionnalité de ce véhicule nous a séduits. Bravo aussi pour le confort intérieur, autant les sièges que l'entrée et la sortie, même à la troisième rangée.
Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com |
En temps normal sur la route, le Durango se montre calme, détendu et hyper silencieux. La direction à assistance électrique fournit une assistance variable bien calculée et la pédale de frein communicative offre une bonne sensation. Dans un environnement urbain typique, le gros Dodge nous a surpris par son agilité et sa manœuvrabilité.
Là où ça se gâte, c'est sur les chaussées endommagées. Le roulement s'agite, le contrôle s'effrite et l'arrière-train qui sautille d'un côté et de l'autre fait carrément peur. Pleinement chargé, le Durango a fait passer un mauvais quart d'heure aux occupants les plus reculés. L'autre grande faiblesse s'avère le manque de fougue. Le V6 Pentastar de 3,6 litres a beau afficher la puissance la plus élevée de la catégorie, mais il doit se fier à une boîte automatique paresseuse comptant seulement cinq rapports pour propulser une masse frôlant les 5000 livres (2262 kilos). Un beau gaspillage.
Étrangement, malgré le poids colossal du Durango, sa consommation d'essence demeure respectable – la troisième meilleure dans notre classement. Deux de nos évaluateurs ont bien aimé ce qu'ils ont vu dans l'ensemble, mais les lacunes importantes mentionnées ci-haut ont fini par peser plus lourd dans la balance.
MOTEUR | BOÎTE DE VITESSES | PUISSANCE | COUPLE | TRANSMISSION | |
CH@ TR/MIN | LB-PI@TR/MIN | ||||
Dodge Durango Crew Plus 2011 | V6 3,6L | auto 6 rapports | 290@6 400 | 260@4 800 | TI |
Ford Explorer XLT V6 4RM 2011 | V6 3,5L | auto 6 rapports | 290@6 500 | 255@4 000 | TI |
GMC Acadia Denali 2011 | V6 3,6L | auto 6 rapports | 288@6 300 | 270@3 400 | TI |
Honda Pilot Touring 2011 | V6 3,5L | auto 5 rapports | 250@5 700 | 253@4 800 | TI |
Mazda CX-9 GT 2011 | V6 3,7L | auto 6 rapports | 273@6 250 | 270@4 250 | TI |
Nissan Pathfinder LE 2011 | V6 4,0L | auto 5 rapports | 266@5 600 | 288@4 000 | 4RM |
Toyota Highlander 4RM V6 Sport 2011 | V6 3,5L | auto 5 rapports | 270@6 200 | 248@4 700 | TI |