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Mercedes-Benz GLK350 2010 : premières impressions

Le meilleur taux d'intérêt
Rob Rothwell
Le bon format
Une architecture gagnante
Tel que mentionné plus tôt, le GLK emploie la même plate-forme que la C, ce qui est un très bon point de départ compte tenu de la maniabilité et de la stabilité exemplaires de cette dernière. Bien sûr, d'importantes modifications ont été apportées. Afin de permettre au véhicule de s'aventurer en dehors des sentiers battus, le débattement de la suspension a été augmenté, les ressorts ont été modifiés et les barres stabilisatrices, renforcées.

Le GLK emploie la même plate-forme que la C, ce qui est un très bon point de départ.

Lors de mon essai routier, la suspension retravaillée s'est merveilleusement comporté. Les escapades sur route et hors route sont agréables en raison de la souplesse évidente des amortisseurs et ressorts. Dans les virages serrés, cette suspension entièrement indépendante se raffermit automatiquement pour atténuer l'effet de roulis tout en permettant au conducteur de bien maintenir le cap.

Les excursions tout-terrain sont facilitées par ledit débattement accru. Notons cependant que le GLK ne possède pas une garde au sol généreuse; ce n'était pas l'objectif des ingénieurs de Mercedes, d'ailleurs. Comme le dégagement minimal est de 201 millimètres seulement, des panneaux extrêmement robustes de marque GMtex protègent le dessous du GLK (en choisissant le groupe d'options Tout-terrain). Ce matériau est plus léger et plus solide que le métal. Il est conçu pour supporter tout le poids du véhicule quand un obstacle soulève le châssis. Toutes les composantes essentielles sous le véhicule -- et les personnes à l'intérieur -- sont ainsi efficacement protégées.

Plusieurs moteurs disponibles, mais un seul pour le Canada
Au début, le modèle canadien offrira un seul moteur, soit un V6 de 3,5 litres à DACT développant 272 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 258 livres-pied à 2400 tours/minute. En Europe, un V6 de cylindrée inférieure et des diesels à quatre et à six cylindres figureront au menu. Ces deux derniers feront éventuellement leur entrée chez nous.

Moins économe qu'un diesel, le V6 à essence n'en demeure pas moins extrêmement compétent. Il déploie beaucoup d'énergie à bas régime et favorise ainsi des décollages vigoureux. Mercedes-Benz cite un temps de 6,7 secondes de 0 à 100 km/h. Les reprises sont également impressionnantes, notamment quand vient le temps de dépasser. Et au-delà de sa superbe fougue, ce moteur se caractérise par un fonctionnement des plus raffiné.

Au début, le modèle canadien offrira un seul moteur, soit un V6 de 3,5 litres à DACT développant 272 chevaux.
Rob Rothwell
Rob Rothwell
Expert automobile
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