Jusqu'à tout récemment, je ne savais pas grand-chose de Mitsubishi.
Bien sûr, l'écran de mon ordinateur est orné de leur logo dans le coin inférieur gauche, et j'étais vaguement au courant de leur implication avec la production de machinerie lourde. Mais au niveau des voitures Mitsubishi, je n'en n'avais pas une impression claire et précise.
Je n'étais pas la seule.
Mitsubishi est implanté au Canada depuis seulement quatre ans et demi, environ--un nouvel arrivant dans un marché mature. En 2005, leurs ventes ne représentaient que 0,7% du marché canadien. Comme moi, beaucoup de Canadiens n'étaient pas familiers avec les véhicules Mitsubishi, qui n'avaient pas encore établi une image définitive ici.
Reconnaissant le potentiel immense du marché au Canada, la firme s'est payée une restructuration majeure ainsi qu'une réévaluation. Elle a débuté par séparer Mitsubishi du Canada de son homologue américain--la compagnie canadienne se rapporte maintenant directement au Japon. De plus, une campagne publicitaire plus agressive a été mise sur pied--ciblant des acheteurs plus jeunes, et en capitalisant sur leurs succès immenses en rallye mondial, la compagnie met l'emphase sur les caractéristiques robustes et athlétiques de leurs véhicules.
En 2007, les ventes ont augmenté à un peu plus de 1% de part de marché. En octobre 2006, un nouveau président a été nommé chez Mitsubishi du Canada.
M. Koji Soga, un vétéran de Mitsubishi de 39 ans (débutant sa carrière avec les industries lourdes), a récemment accueilli des membres des médias automobile, les invitant à essayer une petite sélection de voitures venant de l'Asie et de l'Europe, et de commenter sur leur potentiel sur le marché canadien.
Camionnette Triton L200
Le Triton a un historique dans sa Thaïlande natale qui remonte à 1988. Le nom Mitsubishi a longtemps été associé avec des victoires en rallye, où le Triton a été le gagnant du Rallye Tout-Terrain de la FIA en 2003. Des éléments esthétiques ont été inspirés du véhicule de course Pajero Evolution, incluant les lignes effilées et la calandre à la « Mont Fuji ».
La Triton est une camionnette intermédiaire, comparable en gabarit à la Dodge Dakota (et sa consoeur, la Mitsubishi Raider) ou la Chevrolet Colorado. Mais le look est très différent. La caisse ne peut pas vraiment être considérée comme une « boîte » puisqu'elle dispose de lignes fuyantes et un hayon arrondi.
Notre véhicule d'essai était un modèle à cabine double avec quatre portières pleine grandeur. Il offre une quantité d'espace substantielle, mais à un prix--la capacité de la caisse est réduite. Nous nous demandons comment un consommateur canadien pourrait utiliser ce modèle particulier, car il ne peut pas transporter de VTT, de motoneige ni une feuille de gypse acheté chez Home Depot.
Bien sûr, l'écran de mon ordinateur est orné de leur logo dans le coin inférieur gauche, et j'étais vaguement au courant de leur implication avec la production de machinerie lourde. Mais au niveau des voitures Mitsubishi, je n'en n'avais pas une impression claire et précise.
Je n'étais pas la seule.
Mitsubishi est implanté au Canada depuis seulement quatre ans et demi, environ--un nouvel arrivant dans un marché mature. En 2005, leurs ventes ne représentaient que 0,7% du marché canadien. Comme moi, beaucoup de Canadiens n'étaient pas familiers avec les véhicules Mitsubishi, qui n'avaient pas encore établi une image définitive ici.
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Reconnaissant le potentiel immense du marché au Canada, la firme s'est payée une restructuration majeure ainsi qu'une réévaluation. Elle a débuté par séparer Mitsubishi du Canada de son homologue américain--la compagnie canadienne se rapporte maintenant directement au Japon. De plus, une campagne publicitaire plus agressive a été mise sur pied--ciblant des acheteurs plus jeunes, et en capitalisant sur leurs succès immenses en rallye mondial, la compagnie met l'emphase sur les caractéristiques robustes et athlétiques de leurs véhicules.
En 2007, les ventes ont augmenté à un peu plus de 1% de part de marché. En octobre 2006, un nouveau président a été nommé chez Mitsubishi du Canada.
M. Koji Soga, un vétéran de Mitsubishi de 39 ans (débutant sa carrière avec les industries lourdes), a récemment accueilli des membres des médias automobile, les invitant à essayer une petite sélection de voitures venant de l'Asie et de l'Europe, et de commenter sur leur potentiel sur le marché canadien.
Camionnette Triton L200
Le Triton a un historique dans sa Thaïlande natale qui remonte à 1988. Le nom Mitsubishi a longtemps été associé avec des victoires en rallye, où le Triton a été le gagnant du Rallye Tout-Terrain de la FIA en 2003. Des éléments esthétiques ont été inspirés du véhicule de course Pajero Evolution, incluant les lignes effilées et la calandre à la « Mont Fuji ».
La Triton est une camionnette intermédiaire, comparable en gabarit à la Dodge Dakota (et sa consoeur, la Mitsubishi Raider) ou la Chevrolet Colorado. Mais le look est très différent. La caisse ne peut pas vraiment être considérée comme une « boîte » puisqu'elle dispose de lignes fuyantes et un hayon arrondi.
Notre véhicule d'essai était un modèle à cabine double avec quatre portières pleine grandeur. Il offre une quantité d'espace substantielle, mais à un prix--la capacité de la caisse est réduite. Nous nous demandons comment un consommateur canadien pourrait utiliser ce modèle particulier, car il ne peut pas transporter de VTT, de motoneige ni une feuille de gypse acheté chez Home Depot.
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