Mercedes-Benz CLK
Le constructeur de Stuttgart aurait pu moins se casser la tête et offrir le nouveau CLK en coupé pour la Classe C. Mais la place était déjà prise par le coupé que l'on connaît, alors peut-être que... De toute façon, le prix n'est nullement comparable, le CLK se classant un peu plus haut dans la gamme de Mercedes-Benz. Ce qui est justifié par une mécanique plus robuste, le coupé profitant de l'agréable V8 de 5 litres et 306 chevaux qui se retrouve sous le capot de plusieurs autres modèles de la marque. Remarquez d'ailleurs qu'il est possible de choisir un moteur un peu plus modeste : le V6 de 3,2 litres de la Classe C.
À ce chapitre, la division AMG offre le CLK55, à 362 chevaux, pour amateurs avertis seulement. Dans tous les cas, une transmission automatique à cinq rapports fera pester les gens pressés, la réaction se faisant souvent attendre, l'espace d'une seconde, au décollage. Mais elle se reprend une fois lancée, car les reprises à vitesse élevée sont très rapides. Au volant, vous remarquerez surtout la douceur de l'ensemble, que respecte également une suspension que l'on ne peut qualifier de rigide. Probablement une concession faite au confort, d'ailleurs remarquable. L'insonorisation est très réussie, d'autant plus que le coupé ne possède pas de pilier central, ce qui aurait pu nuire à l'étanchéité de la portière. L'habitacle est pour sa part très invitant.
Les ingénieurs ont su respecter les caractéristiques extérieures du coupé en reproduisant les mêmes formes sur le tableau de bord. On reconnaît la courbe des phares jusque dans la disposition des éléments de ventilation! Et que dire du petit système qui vous tend la ceinture de sécurité lorsque vous vous installez dans l'habitacle?
Le constructeur de Stuttgart aurait pu moins se casser la tête et offrir le nouveau CLK en coupé pour la Classe C. Mais la place était déjà prise par le coupé que l'on connaît, alors peut-être que... De toute façon, le prix n'est nullement comparable, le CLK se classant un peu plus haut dans la gamme de Mercedes-Benz. Ce qui est justifié par une mécanique plus robuste, le coupé profitant de l'agréable V8 de 5 litres et 306 chevaux qui se retrouve sous le capot de plusieurs autres modèles de la marque. Remarquez d'ailleurs qu'il est possible de choisir un moteur un peu plus modeste : le V6 de 3,2 litres de la Classe C. À ce chapitre, la division AMG offre le CLK55, à 362 chevaux, pour amateurs avertis seulement. Dans tous les cas, une transmission automatique à cinq rapports fera pester les gens pressés, la réaction se faisant souvent attendre, l'espace d'une seconde, au décollage. Mais elle se reprend une fois lancée, car les reprises à vitesse élevée sont très rapides. Au volant, vous remarquerez surtout la douceur de l'ensemble, que respecte également une suspension que l'on ne peut qualifier de rigide. Probablement une concession faite au confort, d'ailleurs remarquable. L'insonorisation est très réussie, d'autant plus que le coupé ne possède pas de pilier central, ce qui aurait pu nuire à l'étanchéité de la portière. L'habitacle est pour sa part très invitant.
Les ingénieurs ont su respecter les caractéristiques extérieures du coupé en reproduisant les mêmes formes sur le tableau de bord. On reconnaît la courbe des phares jusque dans la disposition des éléments de ventilation! Et que dire du petit système qui vous tend la ceinture de sécurité lorsque vous vous installez dans l'habitacle?