Mais au-delà de la dotation, la finition soignée et la qualité des matériaux utilisés dans l'habitacle sont tout simplement remarquables. Tout comme l'insonorisation intérieure, d'ailleurs, qui se compare très favorablement à ce que Toyota a fait de mieux. Ce détail, on le remarque dès qu'on sollicite hardiment le 4-cylindres, qui demeure relativement discret même à haut régime.
Juste assez spacieuse !
L'habitacle peut accueillir quatre adultes, bien que les places arrière deviennent moins généreuses au niveau des jambes lorsque de grandes personnes prennent place dans les sièges baquets, qui sont agréablement moulants. Cela dit, même dans ces conditions, les places arrière d'une Kizashi demeurent un peu plus confortables que l'espace exigu qu'impose la banquette arrière d'une Série 3...
Le couvercle du coffre découvre une ouverture large, mais un peu courte, au seuil élevé. Le volume utile s'apparente à celui du coffre d'une Volkswagen Passat: 378 litres contre 400. Au besoin, il est possible de rabattre les sections asymétriques du dossier de la banquette arrière pour accroître la surface de chargement.
Fait à noter, le fabricant annonce dans le guide de l'utilisateur que la Kizashi n'est pas conçue pour remorquer une charge. De toute façon, on n'achète pas une Kizashi pour tirer une roulotte. On la choisit pour la conduite à l'état pur! L'équilibre dont elle fait preuve sur la route, à basse comme à haute vitesse, constitue sans doute sa plus grande qualité. C'est ce qui fait qu'on l'assimile aux berlines de conception européenne.
Son comportement routier est d'ailleurs l'élément qui la «vend» le mieux, nous apprend Bill Porter: «L'essai routier que font les acheteurs, lorsqu'ils visitent nos concessionnaires, voilà ce qui les convainc!». Bref, l'essayer c'est l'adopter!
Au volant de cette voiture, l'acheteur découvre une servodirection à la précision chirurgicale, une boîte de vitesses offrant un maniement précis, une suspension indépendante juste assez ferme et dont la calibration masque efficacement les défauts du revêtement (une chose qu'on apprécie sur les « belles » routes du Québec...), sans oublier un freinage puissant et facile à doser. Un pur ravissement!
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| La Kizashi surprend par la qualité de sa finition et des matériaux utilisés dans l’habitacle. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
Juste assez spacieuse !
L'habitacle peut accueillir quatre adultes, bien que les places arrière deviennent moins généreuses au niveau des jambes lorsque de grandes personnes prennent place dans les sièges baquets, qui sont agréablement moulants. Cela dit, même dans ces conditions, les places arrière d'une Kizashi demeurent un peu plus confortables que l'espace exigu qu'impose la banquette arrière d'une Série 3...
Le couvercle du coffre découvre une ouverture large, mais un peu courte, au seuil élevé. Le volume utile s'apparente à celui du coffre d'une Volkswagen Passat: 378 litres contre 400. Au besoin, il est possible de rabattre les sections asymétriques du dossier de la banquette arrière pour accroître la surface de chargement.
Fait à noter, le fabricant annonce dans le guide de l'utilisateur que la Kizashi n'est pas conçue pour remorquer une charge. De toute façon, on n'achète pas une Kizashi pour tirer une roulotte. On la choisit pour la conduite à l'état pur! L'équilibre dont elle fait preuve sur la route, à basse comme à haute vitesse, constitue sans doute sa plus grande qualité. C'est ce qui fait qu'on l'assimile aux berlines de conception européenne.
Son comportement routier est d'ailleurs l'élément qui la «vend» le mieux, nous apprend Bill Porter: «L'essai routier que font les acheteurs, lorsqu'ils visitent nos concessionnaires, voilà ce qui les convainc!». Bref, l'essayer c'est l'adopter!
Au volant de cette voiture, l'acheteur découvre une servodirection à la précision chirurgicale, une boîte de vitesses offrant un maniement précis, une suspension indépendante juste assez ferme et dont la calibration masque efficacement les défauts du revêtement (une chose qu'on apprécie sur les « belles » routes du Québec...), sans oublier un freinage puissant et facile à doser. Un pur ravissement!
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| On choisit la Kizashi pour son comportement routier aussi impressionnant que stimulant. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |