Sport pour sportive !
La voiture qu'on nous a fait essayer se veut sportive, aussi. Son nom le dit. Voilà pourquoi on l'a dotée d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports, alors que les deux autres Kizashi ont une boîte automatique Manumatic à variation continue.
Bien entendu, il faut reconnaître que la Kizashi s'attaque à un créneau important de notre marché automobile. Le quart des véhicules achetés par les automobilistes canadiens actuellement sont des berlines intermédiaires, comme la Camry, l'Accord et la Mazda6. La Kizashi devait donc s'apparenter à ces produits, dans une certaine mesure du moins. Cependant, les stratèges de Suzuki ont cherché à la distinguer en lui donnant des qualités intrinsèques généralement associées aux berlines européennes.
Comme nous l'expliquait Bill Porter: « Suzuki n'a pas essayé de réinventer la Camry, l'Accord ou la Mazda6. Nous avons plutôt voulu réaliser une auto stimulante qui offre beaucoup de... vroum-vroum! ».
Esthétique rehaussée
Cette nouvelle Kizashi se distingue de sa devancière par des roues en alliage d'aluminium de 18 pouces exclusives. Sa suspension un peu plus ferme (mais vraiment pas trop) a également été abaissée de 10 millimètres.
Étiquette sportive oblige, on l'a aussi parée d'une calandre avec antibrouillards plus «costaude», mais aussi d'appliques de bas de caisse et d'un tout petit aileron arrière vraiment très discret.
À l'intérieur, la sellerie de cuir noir qui habille ses sièges, son volant et le pommeau du levier de boîte de vitesses, a des surpiqûres argentées qui la distinguent de celle de la SX ; une petite touche d'élégance bienvenue.
Ce modèle partage l'excellente chaîne audio Rockford Fosgate à 9 haut-parleurs et caisson de basse de la SX. La Kizashi S, elle, se contente d'une chaîne à... 8 haut-parleurs! Cela donne une idée de la qualité de la dotation du modèle de base.
La voiture qu'on nous a fait essayer se veut sportive, aussi. Son nom le dit. Voilà pourquoi on l'a dotée d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports, alors que les deux autres Kizashi ont une boîte automatique Manumatic à variation continue.
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| Contrairement à la version SX, qui a quatre roues motrices et une boîte automatique à variation continue, la version Sport est une traction équipée d’une boîte manuelle à 6 rapports. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
Bien entendu, il faut reconnaître que la Kizashi s'attaque à un créneau important de notre marché automobile. Le quart des véhicules achetés par les automobilistes canadiens actuellement sont des berlines intermédiaires, comme la Camry, l'Accord et la Mazda6. La Kizashi devait donc s'apparenter à ces produits, dans une certaine mesure du moins. Cependant, les stratèges de Suzuki ont cherché à la distinguer en lui donnant des qualités intrinsèques généralement associées aux berlines européennes.
Comme nous l'expliquait Bill Porter: « Suzuki n'a pas essayé de réinventer la Camry, l'Accord ou la Mazda6. Nous avons plutôt voulu réaliser une auto stimulante qui offre beaucoup de... vroum-vroum! ».
Esthétique rehaussée
Cette nouvelle Kizashi se distingue de sa devancière par des roues en alliage d'aluminium de 18 pouces exclusives. Sa suspension un peu plus ferme (mais vraiment pas trop) a également été abaissée de 10 millimètres.
Étiquette sportive oblige, on l'a aussi parée d'une calandre avec antibrouillards plus «costaude», mais aussi d'appliques de bas de caisse et d'un tout petit aileron arrière vraiment très discret.
À l'intérieur, la sellerie de cuir noir qui habille ses sièges, son volant et le pommeau du levier de boîte de vitesses, a des surpiqûres argentées qui la distinguent de celle de la SX ; une petite touche d'élégance bienvenue.
Ce modèle partage l'excellente chaîne audio Rockford Fosgate à 9 haut-parleurs et caisson de basse de la SX. La Kizashi S, elle, se contente d'une chaîne à... 8 haut-parleurs! Cela donne une idée de la qualité de la dotation du modèle de base.
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| Ce modèle partage l’excellente chaîne audio Rockford Fosgate à 9 haut-parleurs et caisson de basse de la SX. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |