Contrairement à certains de mes collègues, dont un en particulier que je ne nommerai pas qui bave sur une GTI même en photo, j’ai toujours aimé la voiture, par contre je n’ai jamais tripé dessus.
Elle se montrait généralement plaisante à conduire, avec des performances relevées et une bonne tenue de route. À mon humble avis, les meilleures étaient la GTI 16V de 1985 à 1992 (que les fans de VW appellent la Mk2) et celle de 2007 à 2009 (la Mk5). Cette dernière s’affirmait particulièrement intéressante, remportant en outre notre essai comparatif de sportives à hayon en 2008.
La GTI de génération précédente avait le muscle et les réflexes, quoique personnellement, je ne la trouvais pas très séduisante. Attendez, laissez-moi préciser une chose : je ne croyais pas que son allure conservatrice et sa présence la justifiait par rapport à une Rabbit, qui coûtait jusqu’à 10 000 $ de moins et n’avait que 30 chevaux de moins. Le pare-choc arrière noir me désintéressait particulièrement, mais je suis peut-être trop difficile.
Cependant, la sixième génération de la Golf GTI reçoit maintenant une carrosserie qui va de pair avec ses performances. On commence avec la refonte de 2010 qui inclut des panneaux latéraux incurvés, des phares effilés et des feux arrière aplatis qui ont l’air plus sérieux que ceux de l’ancienne Golf. Nous aimons bien les jantes en alliage optionnelles de 18 pouces, quoique certains collègues préfèrent néanmoins les jantes de 17 pouces offertes de série.
Les distinctions entre la Golf et la GTI sont plus significatives que par le passé. La nouvelle GTI dispose d’un pare-choc avant plus agressif avec des entrées d’air et des phares antibrouillard à la verticale, ses lignes décoratives rouges plus visibles, et le pare-choc arrière plus stylisé comprend un diffuseur d’air et des embouts d’échappement chromés.
La GTI 2010 a le même cœur que la Mk5, ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle. L’excellent 4-cylindres turbo de 2,0 litres avec injection directe, partagé par VW et Audi, demeure l’un de nos moteurs favoris, alors pas besoin de changer une formule gagnante, hein? Il développe 200 chevaux ainsi qu’un couple de 207 livres-pied plafonnant entre 1 700 et 5 000 tr/min, donc presque tout le temps.
Elle se montrait généralement plaisante à conduire, avec des performances relevées et une bonne tenue de route. À mon humble avis, les meilleures étaient la GTI 16V de 1985 à 1992 (que les fans de VW appellent la Mk2) et celle de 2007 à 2009 (la Mk5). Cette dernière s’affirmait particulièrement intéressante, remportant en outre notre essai comparatif de sportives à hayon en 2008.
 |
| La refonte de 2010 inclut des panneaux latéraux incurvés, des phares effilés et des feux arrière aplatis. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
La GTI de génération précédente avait le muscle et les réflexes, quoique personnellement, je ne la trouvais pas très séduisante. Attendez, laissez-moi préciser une chose : je ne croyais pas que son allure conservatrice et sa présence la justifiait par rapport à une Rabbit, qui coûtait jusqu’à 10 000 $ de moins et n’avait que 30 chevaux de moins. Le pare-choc arrière noir me désintéressait particulièrement, mais je suis peut-être trop difficile.
Cependant, la sixième génération de la Golf GTI reçoit maintenant une carrosserie qui va de pair avec ses performances. On commence avec la refonte de 2010 qui inclut des panneaux latéraux incurvés, des phares effilés et des feux arrière aplatis qui ont l’air plus sérieux que ceux de l’ancienne Golf. Nous aimons bien les jantes en alliage optionnelles de 18 pouces, quoique certains collègues préfèrent néanmoins les jantes de 17 pouces offertes de série.
Les distinctions entre la Golf et la GTI sont plus significatives que par le passé. La nouvelle GTI dispose d’un pare-choc avant plus agressif avec des entrées d’air et des phares antibrouillard à la verticale, ses lignes décoratives rouges plus visibles, et le pare-choc arrière plus stylisé comprend un diffuseur d’air et des embouts d’échappement chromés.
La GTI 2010 a le même cœur que la Mk5, ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle. L’excellent 4-cylindres turbo de 2,0 litres avec injection directe, partagé par VW et Audi, demeure l’un de nos moteurs favoris, alors pas besoin de changer une formule gagnante, hein? Il développe 200 chevaux ainsi qu’un couple de 207 livres-pied plafonnant entre 1 700 et 5 000 tr/min, donc presque tout le temps.
 |
| La nouvelle GTI dispose d’un pare-choc avant plus agressif avec des entrées d’air et des phares antibrouillard à la verticale. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |