Lorsque Toyota lance un nouveau camion ou utilitaire sport, les gens de ma municipalité du nord de l’Ontario — et ceux de milliers d’autres communautés — lui portent beaucoup d’attention, surtout quand il s’agit d’un modèle chéri par les passionnés comme le 4Runner.
Les ingénieurs de Toyota ont passé énormément de temps dans la boue et les sentiers en vue de concevoir la nouvelle édition de ce 4x4 japonais. Haut placé dans la hiérarchie des VUS de la marque, le Toyota 4Runner 2010 plaira autant aux mordus de conduite tout-terrain qu’aux familles en quête d’aventure. Toyota a même osé, pour une première dans son histoire, l’affubler d’une «méchante» gueule!
Nouveau V6 de 4,0 litres
Derrière ce look, se camoufle un nouveau V6 de 4,0 litres développant 270 chevaux, soit un rendement supérieur aux deux moteurs de l’année précédente, même le V8. Par conséquent, pas besoin d’offrir une autre alternative!
Le nouveau V6 génère beaucoup de puissance à bas régime grâce à des systèmes d’admission et de distribution variables, ce qui rend les rétrogradations inutiles dans la plupart des situations. En fait, la transmission automatique ne semble même pas y songer, comme si cette fonction avait été déprogrammée de l’ordinateur. Elle opte pour un rapport inférieur uniquement lorsqu’on enfonce la pédale d’accélérateur au maximum.
En somme, le groupe motopropulseur travaille avec un grand souci d’efficacité. Ceux qui conduisent sans se laisser emporter se verront récompensés avec une belle économie de carburant. Lors de mon essai, le 4Runner a maintenu une moyenne ville/autoroute/hors-route de 15,5 L/100 km — intéressant compte tenu de son gabarit et de sa performance.
En dehors des sentiers battus
Sortir des sentiers battus avec un camion flambant neuf de plus de 40 000 $? Pourquoi pas! Plusieurs propriétaires de 4Runner, pour ne pas dire la vaste majorité, attendent que leur machine atteigne 10 ans avant de se lancer à fond de train dans les chemins de terre et de rocaille. En tant que journaliste automobile déterminé, je n’allais certainement pas me contenter d’évaluer un VUS de pareil calibre uniquement sur des routes de gravier et dans des stationnements de centres commerciaux. Ce serait une insulte aux plaques de protection sous la carrosserie, au boîtier de transfert avec gamme basse, à l’essieu arrière rigide et au robuste châssis.
 |
| Le Toyota 4Runner 2010 plaira autant aux mordus de conduite tout-terrain qu’aux familles en quête d’aventure. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Les ingénieurs de Toyota ont passé énormément de temps dans la boue et les sentiers en vue de concevoir la nouvelle édition de ce 4x4 japonais. Haut placé dans la hiérarchie des VUS de la marque, le Toyota 4Runner 2010 plaira autant aux mordus de conduite tout-terrain qu’aux familles en quête d’aventure. Toyota a même osé, pour une première dans son histoire, l’affubler d’une «méchante» gueule!
Nouveau V6 de 4,0 litres
Derrière ce look, se camoufle un nouveau V6 de 4,0 litres développant 270 chevaux, soit un rendement supérieur aux deux moteurs de l’année précédente, même le V8. Par conséquent, pas besoin d’offrir une autre alternative!
Le nouveau V6 génère beaucoup de puissance à bas régime grâce à des systèmes d’admission et de distribution variables, ce qui rend les rétrogradations inutiles dans la plupart des situations. En fait, la transmission automatique ne semble même pas y songer, comme si cette fonction avait été déprogrammée de l’ordinateur. Elle opte pour un rapport inférieur uniquement lorsqu’on enfonce la pédale d’accélérateur au maximum.
En somme, le groupe motopropulseur travaille avec un grand souci d’efficacité. Ceux qui conduisent sans se laisser emporter se verront récompensés avec une belle économie de carburant. Lors de mon essai, le 4Runner a maintenu une moyenne ville/autoroute/hors-route de 15,5 L/100 km — intéressant compte tenu de son gabarit et de sa performance.
En dehors des sentiers battus
Sortir des sentiers battus avec un camion flambant neuf de plus de 40 000 $? Pourquoi pas! Plusieurs propriétaires de 4Runner, pour ne pas dire la vaste majorité, attendent que leur machine atteigne 10 ans avant de se lancer à fond de train dans les chemins de terre et de rocaille. En tant que journaliste automobile déterminé, je n’allais certainement pas me contenter d’évaluer un VUS de pareil calibre uniquement sur des routes de gravier et dans des stationnements de centres commerciaux. Ce serait une insulte aux plaques de protection sous la carrosserie, au boîtier de transfert avec gamme basse, à l’essieu arrière rigide et au robuste châssis.
 |
| Derrière ce look, se camoufle un nouveau V6 de 4,0 litres développant 270 chevaux. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |