Dans la région de Sudbury, au nord de l’Ontario, la Toyota Prius est loin d’être chose commune. À l’extérieur de la grande ville, la plupart des gens ici conduisent une Dodge Ram, tirent une remorque et, à part un regard amusé jeté à un feu rouge, ne s’occupent pas trop des voitures hybrides.
Les hybrides sont à leur meilleur en ville peuplée, pas dans le Nord où les autoroutes s’enchaînent et la circulation n’est que très peu arrêtée. Bien sûr, Toyota a vendu plus de 1,5 million de Prius, et bon nombre d’entre elles se sont effectivement trouvées en région.
Troisième génération
Un million et demi, c’est un gros chiffre sur papier, mais statistiquement ce n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan par rapport à toutes les ventes de véhicules neufs durant la même période. Afin de stimuler les ventes et de faire avancer la cause des hybrides, les constructeurs les améliorent sans cesse, au chapitre du style comme de la fonctionnalité.
La Prius en est un bon exemple. Elle a évolué en un look plus conventionnel. Sa forme et son style privilégiant l’aérodynamique d’abord n’ont pas changé, mais le carénage avant repensé et la carrosserie plus nette lui confèrent une allure plus confiante. Les stylistes ont bien fait leur travail.
Idem à l’intérieur. Un cockpit unique et futuriste était à la base de la voiture pendant des années, et la Prius de troisième génération pousse les choses encore plus loin. Le petit levier de vitesses genre joystick est de retour, désormais fixé à une console centrale déferlant du tableau de bord vers le conducteur.
Elle dissimule également un espace libre pour le rangement. Elle rappelle la console en cascade de Volvo, mais en plus gros. Les commandes sont rassemblées en groupes logiques, et les instruments sont tous intégrés à un écran numérique au centre du tableau de bord.
Les détails
L’ensemble Touring optionnel ajoute de beaux accents comme des seuils de portière illuminés, l’interface téléphonique Bluetooth, une caméra de recul et une superbe chaîne JBL avec changeur CD.
Les hybrides sont à leur meilleur en ville peuplée, pas dans le Nord où les autoroutes s’enchaînent et la circulation n’est que très peu arrêtée. Bien sûr, Toyota a vendu plus de 1,5 million de Prius, et bon nombre d’entre elles se sont effectivement trouvées en région.
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| La Prius a évolué en un look plus conventionnel. |
Troisième génération
Un million et demi, c’est un gros chiffre sur papier, mais statistiquement ce n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan par rapport à toutes les ventes de véhicules neufs durant la même période. Afin de stimuler les ventes et de faire avancer la cause des hybrides, les constructeurs les améliorent sans cesse, au chapitre du style comme de la fonctionnalité.
La Prius en est un bon exemple. Elle a évolué en un look plus conventionnel. Sa forme et son style privilégiant l’aérodynamique d’abord n’ont pas changé, mais le carénage avant repensé et la carrosserie plus nette lui confèrent une allure plus confiante. Les stylistes ont bien fait leur travail.
Idem à l’intérieur. Un cockpit unique et futuriste était à la base de la voiture pendant des années, et la Prius de troisième génération pousse les choses encore plus loin. Le petit levier de vitesses genre joystick est de retour, désormais fixé à une console centrale déferlant du tableau de bord vers le conducteur.
Elle dissimule également un espace libre pour le rangement. Elle rappelle la console en cascade de Volvo, mais en plus gros. Les commandes sont rassemblées en groupes logiques, et les instruments sont tous intégrés à un écran numérique au centre du tableau de bord.
Les détails
L’ensemble Touring optionnel ajoute de beaux accents comme des seuils de portière illuminés, l’interface téléphonique Bluetooth, une caméra de recul et une superbe chaîne JBL avec changeur CD.
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| Un cockpit unique et futuriste était à la base de la voiture pendant des années, et elle pousse les choses encore plus loin. |