Vous vous souvenez de ce qu’on disait des hybrides? Eh bien, il faut juger sur pièces, comme on dit! Si même Ferrari caresse l’idée d’un hybride, eh bien, le monde en est officiellement gaga. En fait, il ne s’agit pas d’un hybride « ordinaire ». Ferrari a articulé son prototype autour de la toujours sublime 599 GTB Fiorano et réussi à utiliser les désavantages normalement associés à un système hybride pour améliorer le centre de gravité et ainsi ne pas compromettre l’expérience de conduite. Mais attention, même si la consommation a diminué d’environ 50 %, il n’est pas avare de carburant pour autant.
Tel que rapporté par Ferrari
Ferrari présente un « vettura laboratorio » ou véhicule expérimental au 80e Salon de l’auto de Genève, dérivé de la 599 GTB Fiorano et équipé d’une nouvelle transmission hybride sophistiquée.
Les technologies hybrides sont une des solutions envisagées par Ferrari dans le cadre de ses activités continues de recherche et développement, en vue d’améliorer l’efficacité de ses modèles de série. La stratégie à long terme du constructeur est d’expérimenter d’autres technologies, après l’annonce en 2007 d’un plan quinquennal de réduction de la consommation et des émissions de tous les modèles de sa gamme. En effet, avec le lancement de la Ferrari California (2008) et la 458 Italia (2009), la consommation moyenne des Ferrari et leurs émissions de CO2 ont déjà chuté d’environ 30 % par rapport aux données de 2007.
La HY-KERS exposée au salon de Genève est un exemple de la façon dont Ferrari étudie l’application de technologies hybrides dans des voitures sport ultraperformantes. Les objectifs de Ferrari sont axés sur le maintien de l’équilibre, de la tenue de route et des performances caractéristiques de ses voitures malgré l’inévitable augmentation de poids qu’entraîne l’intégration de systèmes hybrides sur des modèles existants.
À cette fin, Ferrari a mis à profit son expérience en course automobile, adaptant une transmission hybride légère pour la 599 GTB Fiorano afin d’assurer que la dynamique du véhicule ne soit en rien modifiée. Les ingénieurs ont ainsi soigneusement intégré chaque composant du système, les plaçant sous le centre de gravité tout en s’assurant que l’espace de l’habitacle et la taille du coffre ne soient pas amputés. De la même façon, les batteries au lithium-ion plates ont été fixées sous le plancher du véhicule, à l’intérieur du soubassement aérodynamique. Le résultat : un centre de gravité encore plus bas que celui d’une voiture ordinaire. De plus, une partie du poids gagné par l’ajout d’un moteur électrique, d’un générateur et de batteries est compensé par la possibilité d’éliminer le démarreur et la batterie traditionnels.
photo: Ferrari |
Tel que rapporté par Ferrari
Ferrari présente un « vettura laboratorio » ou véhicule expérimental au 80e Salon de l’auto de Genève, dérivé de la 599 GTB Fiorano et équipé d’une nouvelle transmission hybride sophistiquée.
Les technologies hybrides sont une des solutions envisagées par Ferrari dans le cadre de ses activités continues de recherche et développement, en vue d’améliorer l’efficacité de ses modèles de série. La stratégie à long terme du constructeur est d’expérimenter d’autres technologies, après l’annonce en 2007 d’un plan quinquennal de réduction de la consommation et des émissions de tous les modèles de sa gamme. En effet, avec le lancement de la Ferrari California (2008) et la 458 Italia (2009), la consommation moyenne des Ferrari et leurs émissions de CO2 ont déjà chuté d’environ 30 % par rapport aux données de 2007.
La HY-KERS exposée au salon de Genève est un exemple de la façon dont Ferrari étudie l’application de technologies hybrides dans des voitures sport ultraperformantes. Les objectifs de Ferrari sont axés sur le maintien de l’équilibre, de la tenue de route et des performances caractéristiques de ses voitures malgré l’inévitable augmentation de poids qu’entraîne l’intégration de systèmes hybrides sur des modèles existants.
À cette fin, Ferrari a mis à profit son expérience en course automobile, adaptant une transmission hybride légère pour la 599 GTB Fiorano afin d’assurer que la dynamique du véhicule ne soit en rien modifiée. Les ingénieurs ont ainsi soigneusement intégré chaque composant du système, les plaçant sous le centre de gravité tout en s’assurant que l’espace de l’habitacle et la taille du coffre ne soient pas amputés. De la même façon, les batteries au lithium-ion plates ont été fixées sous le plancher du véhicule, à l’intérieur du soubassement aérodynamique. Le résultat : un centre de gravité encore plus bas que celui d’une voiture ordinaire. De plus, une partie du poids gagné par l’ajout d’un moteur électrique, d’un générateur et de batteries est compensé par la possibilité d’éliminer le démarreur et la batterie traditionnels.
photo: Ferrari |