Je m'imagine facilement conduisant cet élégant cabriolet sur les routes sinueuses de l'île de Man. Depuis 1905, c'est dans cette île, baignée par la mer d'Irlande, que des motards de partout disputent l'une des compétitions les plus exigeantes : la Tourist Trophy. Les habitués disent simplement « TT ». C'est l'acronyme qu'Audi a emprunté presque un siècle plus tard pour identifier son impressionnante sportive compacte : la TT 3.2 quattro.
Vous comprendrez que j'ai été séduit.
Bien sûr, la TT n'a pas la prestance d'une Nissan 350Z, ni l'allure m'as-tu-vu d'une Solstice GXP. Elle n'offre pas, non plus, la conduite racée de la coursière de fin de semaine qu'est la Honda S2000, ni une silhouette capable de séduire James Bond, comme la BMW Z4. Pourtant, la simplicité volontaire de son design m'inspire un plaisir de vivre. Et puis, elle a un coffre digne de ce nom, elle. Ce que ne peut prétendre la Solstice...
Vivement un billet de loterie !
La TT 3.2 quattro fait partie de ces roadsters de luxe qu'on peut s'offrir après avoir gagné à la loterie. Avec une facture après taxes gravitant dans les 70 000 $, ce n'est pas une voiture du peuple.
Pour cause, elle s'apparente à une Porsche Boxster. Par son prix, évidemment, mais aussi par sa silhouette tout en rondeurs, ses dimensions réservées et les performances stimulantes que procure son V6 multisoupape.
Plus courte qu'une Boxster, elle est cependant plus lourde d'une centaine de kilos. Une différence sans doute attribuable à la transmission intégrale, l'élément qui fait toute la différence.
Car sur la route, même si la petite Porsche se manie avec la précision d'un scalpel, la TT, elle, colle littéralement à la route, et ce, que le pavé soit sec ou humide. La souplesse du système Torsen de sa transmission intégrale (que n'a pas la TT 2.0T, moins chère) procure une aisance routière rassurante.
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| Le comportement routier et l'aménagement intérieur font de cette voiture une formidable sportive. |
Vous comprendrez que j'ai été séduit.
Bien sûr, la TT n'a pas la prestance d'une Nissan 350Z, ni l'allure m'as-tu-vu d'une Solstice GXP. Elle n'offre pas, non plus, la conduite racée de la coursière de fin de semaine qu'est la Honda S2000, ni une silhouette capable de séduire James Bond, comme la BMW Z4. Pourtant, la simplicité volontaire de son design m'inspire un plaisir de vivre. Et puis, elle a un coffre digne de ce nom, elle. Ce que ne peut prétendre la Solstice...
Vivement un billet de loterie !
La TT 3.2 quattro fait partie de ces roadsters de luxe qu'on peut s'offrir après avoir gagné à la loterie. Avec une facture après taxes gravitant dans les 70 000 $, ce n'est pas une voiture du peuple.
Pour cause, elle s'apparente à une Porsche Boxster. Par son prix, évidemment, mais aussi par sa silhouette tout en rondeurs, ses dimensions réservées et les performances stimulantes que procure son V6 multisoupape.
Plus courte qu'une Boxster, elle est cependant plus lourde d'une centaine de kilos. Une différence sans doute attribuable à la transmission intégrale, l'élément qui fait toute la différence.
Car sur la route, même si la petite Porsche se manie avec la précision d'un scalpel, la TT, elle, colle littéralement à la route, et ce, que le pavé soit sec ou humide. La souplesse du système Torsen de sa transmission intégrale (que n'a pas la TT 2.0T, moins chère) procure une aisance routière rassurante.
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| Pour faciliter l'accès à l'intérieur, le conducteur dispose d'un volant dont la partie inférieure du boudin est plate. |