Essai: Toyota FJ Cruiser 2007

Il s'agit indubitablement d'un 4X4 accompli, mais en dépit de ce que d'autres pourraient dire, je prétends que c'est le vilain petit canard de la gamme Toyota. Quand on parle d'automobiles, l'allure de la carrosserie figure davantage au second rang. C'est plutôt ce qui se cache sous les feuilles de métal qui importe réellement, alors je me passerai de commentaires concernant l'apparence de la FJ Cruiser, sinon qu'elle est inspirée de la légendaire FJ40 Land Cruiser, un 4X4 extrêmement robuste que Toyota a produit entre 1960 et 1984. Cependant, je dois mentionner que lorsqu'on m'a remis les clés de la nouvelle FJ, j'ai été surpris de ne pas les voir accompagnées avec un porte-clés. Après avoir déverrouillé les portes manuellement et démarré la machine, j'ai passé un temps fou à chercher les commandes d'ajustement des rétroviseurs pour éventuellement me rendre compte qu'ils étaient à ajustement manuel de l'extérieur du véhicule. Heureusement, une fois ajustés, leurs grandes dimensions procurent une excellente visibilité. De plus, ils seront très utiles lors des changements de voie ou dans les manoeuvres de stationnement car il y a un angle mort très important entre les deux vitres latérales arrière.